L'apologie De Platon
Rapports de Stage : L'apologie De Platon. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar romaneeee • 13 Février 2012 • 601 Mots (3 Pages) • 1 225 Vues
Ce qui aurait été a l’origine de ses accusations serait en effet dut a la consultation d’un oracle de la par de Cherephon : « Il osa consulter l’oracle » mais avant d’expliquer aux atheniens le veritable probleme de cette consultation il les met en conditions : « N’allez pas je le repete m’interrompre par vos cris citoyens ». Il sait toute la pretention que cette question sucite et donc que les atheniens pourrait mal interpreter ceci : » Il pouvait exister quelqu’un de plus savant que moi ». Socrate comprend bien que la reponse favorable de la Pythie (« La Pythie repondit qu’il n’y avait pas de plus savant que moi ») peut suciter de nombreux doutes, il appel donc un temoin en guise de sa bonne fois : « C’est son frere qui portera temoignage devant vouq, puisque Cherephon est mort. Il place cette oracle comme le premier declancheur de son accusations par les sophistes qui n’aurais sans doute pas apprecier la revelation : « L’origine de la calomnie dont je fait l’objet ».
Ensuite, il nous fait par des reflexions qu’il a effectuer apres avoir appris la nouvelle : « Que peut bien vouloir dire la reponse de Dieu, et quel en est le sens caché ? ». Il prouve donc ça modestie face aux arrogant sophistes et tente de se rabaisser afin de ne pas choquer les atheniens : « J’ai bien conscience, moi, de n’être svant ni peu ni prou ». Il n’y voit pas une simple affirmation mais un sens caché. De plus il justifie la necessiter de sa reflexions en refutant une de ses accustion c’est a dire en invocant l’existance et l’autorité de Dieu : « Il ne peut mentir car cela ne lui est pas permis ». Il evoque ensuite les nombreuses reflexions qu’il a eu a realiser avant de tenté l’experience pour laquelle il a dechainer les foudre de certains sophistes : « Non sans avoir beaucoup de peine a y parvenir, je decidait de m’en enquerir en procednat a peut pres de cette maniere ».
Dans un troisieme temps, Socrate relatent son experience au pres d’ « un de ceux qui passent pour etre des savants ». Il se place une fois de plus vers la modestie en admettant qu’un autre puisse etre plus savant : « Je pourrait refuter la reponse oraculaire et faire savoir ceci a l’oracle : Cet individus la est plus savnt que moi ». Il apporte ensuitre une information supplementaire : c’est un homme politique. Cette precisions peut en effet être vut comme une attaque a la justice athenienne. Socrate continue ces attaques en evoquand le savoir de cet homme qui n’était que superficiel et que le plus pretentieux des deux c’était bien celui qui crois savoir et non celui qui doute : « Cet homme la, me semblat il, passait au yeux de beaucoup de gens et surtout a ses propres yeux pour quelqu’un qui savait quelque chose, mais ce n’était pas le cas ». Son experience le place donc en tant qu’homme modeste et inteligent.
Par la suite Socrate nous expose le resultat de son experience et justifie donc l’injustice de sa condamnation. « Je m’attirait son inimitié et celle de plusieurs de gens qui assistait a la scene », la haine et la vengeance de l’humilitation a laqu’elle Socrate a soumis un des politiciens serait donc un element moteurs de son abusive condamnation. Il expose donc avec logique le resultat de l’experience : Socrate est « plus savnat que cet homme là » car « Je
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