Ethique Des Affaires

L’ETHIQUE DES AFFAIRES

• L’ETHIQUE

Introduction : Le retour de l’éthique

Chapitre 1 : Histoire de l’Ethique

Chapitre 2 : Ambigüité de l’Ethique (disciplines proches...)

Chapitre 3 : L’éhtique dans les affaires (la markétique)

Chapitre 4 : L’Ehtique et la science (Bioéthique)

Chapitre 6 : Problème Etique des sociétés pluriculturelles

Chapitre 7 : L’Ethique des médias (la média Ethique)

Introduction : le retour de l’éthique

Bibliographie : RUSS la pensée éthique contemporaine

I. Précision terminologique sur l’Ethique

1. Signification élémentaire de l’éthique

Le mot Ethique apparaît en Grèce il y a 2500 ans. Il vient de « Ethos » qui signifie « coutumes mœurs ; plus générale conduite, action »

Définition : Etudes des mœurs des coutumes des conduites et des actions pour différencier celles qui sont bonnes.

2. Problématique savant

Définition savante : discipline traditionnellement philosophique qui traite les questions fondamentales relatives au bien et au mal.

Le bien est « ce qui fait du bien » (jouissance) ou « ce qui est bien » (ce qui est digne, vertueux) le mal est « ce qui fait mal » (douloureux) ou ce « qui est bien » (vicieux pervers).

Mais il y a des choses qui font du bien et qui sont mal... c’est la problématique.

Les civilisations hédonistes se résume a cette phrase : il n’y a pas de mal à se faire du bien tant qu’on ne fait pas de mal aux autres.

Les civilisations doloristes trouvent louche de se faire du bien (christianisme).

3. Les synonymes 3 mots

Morale : La morale est plus populaire et moins savante que l’éthique.

Déontologie : morale professionnelles propre à un métier (déom déomtos : science des devoirs).

Axiologie : Science des valeurs en générale.

4. Le retour de l’éthique

Notre époque connait un retour à la « mode de l’éthique » depuis une trentaine d’années avec l’apparition de la bioéthique, la markétique, la médiaéthique.

II. Le caractère subjectif de l’éthique

La science de l’éthique n’est pas objective tel que peut l’être les mathématiques.

La philosophie et la sociologie sont analytiques alors que l’éthique est critique. Il y a donc une opposition a des jugements de fait et des jugements de valeur. Ces jugements de valeur sont donc subjectifs.

« Si l’éthique est subjective, chacun a son éthique » Cette pensée est naïve. Les gens partagent leur Ethique avec les autres c’est à dire qu’elle nous vient de l’éducation, de l’entourage....

Il y a un pôle objectif à la science et un pôle subjectif.

Les disciplines les plus objectives sont les sciences mais pas absolue. La vérité de la science est le consensus des savoirs à un moment donné.

Les arts sont très subjectifs mais pas absolu, sinon il n’y aurait pas de critiques.

L’Etique se trouve au milieu car la connaissance n’est pas absolument objective ni subjective mais elle est intersubjective (comme les problèmes politiques juridiques..... Il y a donc une intersubjectivité objective et une intersubjectivité subjective.

L’éthique n’est ni proprement subjective ni objective mais elle est intersubjective mais elle vient d’un dialogue sociale et sociétale et donc un dialogue d’éthique n’a lieu d’être que s’il est problématique et non dogmatique.

III. Culture générale

Au contraire de la culture spéciale (spécialisée).

Définition de la culture : 4 sens

1. Agriculture

2. Physique (culturiste)

3. Formation

4. Civilisation

Formation : études, connaissance, savoir.

Civilisation : Langage, conduite, mœurs, coutume

La formation est individuelle la culture est collective

Définition de la culture G. : culture au sens de formation qui prend pour objet la culture au sens de civilisation.

1ère remarque : L’Ethique est une culture générale qui est une formation qui prend pour objet la culture et en particulier des conduites de mœurs des traditions donc civilisation.

La culture G il faudrait connaitre toute les civilisations il faut très bien connaitre les aprioris les fondements de nos civilisation sinon on risque de projeter nos erreurs dans nos jugement sur les autres.

Le fond de la culture G est donc la civilisation occidentale.

IV. La civilisation Occidentale

Histoire de l’éthique

Ambivalence de la civilisation occidentale

L’origine de l’éthique

LES GRECS

L’éthique a été inventée par Platon et Aristote au – 400 il y a 2500 ans. Il y a les éthiques hédonistes et les éthiques eudémonistes qui estiment que le bonheur est indépendant du plaisir.

Socrate : « connais-toi toi-même » naissance de l’éthique. L’éthique pose la question du bien (plaisir-jouissance, douleur- vertueux) et du mal (douleur-souffrance). Le bien c’est ce qui conduit au bonheur (lié au plaisir mais ne se réduit pas à ça).

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