Critique médiatique: Goldman Sachs
Documents Gratuits : Critique médiatique: Goldman Sachs. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 12 Février 2014 • 528 Mots (3 Pages) • 663 Vues
Goldman Sachs et les médias ne sont pas en bon terme : alors que la banque voudrait se faire discrète, elle fait de plus en plus l'objet de reportages, d'articles, de films...
Par exemple, ARTE a produit un reportage intitulé « Goldman Sachs la banque qui dirige le monde ». Sous le même nom, un livre a aussi été écrit par Marc ROCHE sorti en septembre 2010. Tout deux ont un avis presque similaire sur la question, en effet, ils dénoncent la politique de l'entreprise, ses comportements immoraux, et les affaires scandaleuses.
Tous les médias semblent s'être accordés pour donner une image péjorative de la banque comme dans les couve(comme les couvertures à côté)
Les journaux sont les premiers et les plus nombreux à critiquer Goldman Sachs. Par le biais de leurs sites internet, ils tiennent au courant les internautes des moindre faits et gestes de la banque tandis que celle-ci s'efforce de s'effacer.
Ne serait-ce pas par facilité que les médias pointent du doigt seulement Goldman Sachs?
En 2005, Fabrice Tourre créer un nouveau CDO (*) suite à la demande du fond Paulson. Mais ce CDO n'est pas anodin, en effet, il s'avère que ce dernier était en faite supercherie bancaire comme nous l'avons expliqué auparavant. Le fond Abacus 2007- AC1 voit alors le jour.. Après les avoir refourgué à différents investisseurs, une baisse douteuse de 99% de sa valeur, éveil les soupçons de la SEC. Celle-ci ouvre alors une enquête.
Le 16 avril 2010, la SEC porte plainte pour fraude contre Goldman Sachs. La plainte vise particulièrement le jeune trader français : Frabrice Tourre alors âgé de 29 ans. Pendant son enquête, la SEC avait eu accès aux réseau d'emails professionnel des employés. « Le gendarme boursier » à alors trouvé des indices révélant une fraude potentiel. Un email daté du 23 janvier 2007, Fabrice Tourre écrit «avoir créer des monstruosités » qu'il ne contrôlait et qui a tout moment «risquait de s'effondrer».
Le 26 avril 2010, Tourre témoigne devant la Commission d'enquête des Etats-Unis. La SEC avait monté sept chefs d'accusations contre lui. Il était accusé notamment de fraude boursière, gains illicites, négligence, tromperie intentionnelle, ou encore d’avoir aidé son ex-employeur Goldman Sachs à commettre des infractions. Le jour du témoignage, « Fabulous Fab » utilise du jargon technique pour noyer le jury dans des détails. Par fierté, le jeune français ne voulais même pas fournir d'excuses et niait les accusations avec arrogance. "Il était arrogant et même super arrogant » déclarera par la suite le sénateur Ted Kaufman auMonde. Il était du genre : vous n'avez pas le droit de me poser ces questions et j'en sais plus que vous sur ce dossier."
Lloyd Blankfein ainsi que d'autres employés de Goldman Sachs étaient aussi appelés au témoignage mais la banque a eu recours à l'argent : le 15 juillet, ils paient la somme de 550 millions de dollars pour mettre fin aux poursuites de la SEC sans reconnaître sa culpabilité. L'indétrônable banque avait choisi l'accord coûteux afin d'éviter une mauvaise publicité et une condamnation possible. Toutefois, la banque a lâché son Fabulous Fabrice entre les mains de la
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