Critique de la presse

Raphaël Sancassiani

Paul BRULAT écrivain français du XXème siècle et surtout connu pour sa carrière de journaliste. En 1889 il rentra au quotidien « La Presse » ou il y réalisa une interview d’Emile Zola. Romancier, BRULAT écrivit de nombreux romans comme L’Ame errante (1882) ou Le Reporter (1897), roman sur l’univers de la presse. A travers ce texte, Les Tendances nouvelles, L’écrivain y dénonce une presse qui se détériore, préférant l’argent à son réel but qui était de donné l’information claire et utile au peuple. Mais l’analyse de ce détracteur de la presse est-elle encore d’actualité ? Pour répondre à cette question nous étudierons dans un premier temps ce que la presse peut apporter de positif au lecteur, puis dans un second temps nous montrerons que la presse a de nombreux aspects négatifs.

Pour montrer ce que la presse peut apporter de positif au lecteur nous observerons d’abord en détail ce média et enfin sa réelle utilité. A l’époque de l’écrivain, la presse était l’un des seuls moyens de diffusion d’information pour les individus. Ce qui a permet de créer une culture dite « populaire » car à cette époques la population commence petit à petit à se cultiver avec l’école obligatoire pour tous de Jules ferry. Cela a permis d’apprendre à lire a toute cette nouvelle génération.

La presse a permis d’apprendre des nouvelles de lieux inconnue auparavant, d’apprendre de nouvelle culture pour le peuple populaire (agriculteur, et autre métier hors de la ville).

        Cette citation de l’auteur par exemple, démontre les points négatifs de la presse « La presse, qui dénonce, attaque, flétrit, se donne le droit de relever les abus et les torts de chacun, ne peut prétendre demeurer invulnérable, se soustraire à toute critique. Car elle exercerait un despotisme inacceptable en notre temps et contre lequel un écrivain libre aurait le devoir de s'élever. Elle a, d'ailleurs, bec et ongle pour se défendre, tandis que ses victimes n'ont contre elle que des recours illusoires. Son silence seul peut être mortel. » 

Il fait part de son point de vue sur LA PRESSE et critiques les effets néfastes qu’à la presse sur les « écrivains » de son époque. En effet après les époques de l’âge d’or de la littérature que je situerais au siècle des lumière, la littérature de son époque parait enfantine.

        En ce qui concerne la presse de notre époque je dirais qu’elle est très différente car il y a eu une popularisation de celle-ci qui a fait que la presse a régressé sur les informations qu’elle nous communique. De plus maintenant il y a de diverse méthode d’information comme les médias, la presse, la radio, les réseaux sociaux ce qui créer une plus grande masse de fausse information que d’information véritable. Ce qui créer une sorte de manipulation de masse intellectuelle (le soft power d’Adams Smith ).

        En conclusion, je constate que la presse est différente en différents temps mais le même problème ressort dans le sens où ce ne sont pas des écrivains qui écrivent dans la presse mais des journalistes, ces deux métiers sont opposés car l’écrivain écrit avec sa vision tandis que le journaliste écrit avec une vision global ce qui créer un manque d’impartialité et de l’éthique de l’écrivain

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