Composition Louis Blanc

Composition du texte de Louis Blanc

Suite à la Révolution Française, les ordres sociaux ont disparus, or, nous pouvons encore se pencher sur la liberté qui n’est pas égalitaire. Pour cela, nous étudierons un texte de Louis Blanc s’intitulant « La justification de l’Etat comme institution. Seul l’Etat peut assurer le respect des droits et la liberté politique véritable » parue en 1838.  Louis Blanc est né à Madrid le 29 octobre 1811 et mort à Cannes le 6 décembre 1882. C’est un journaliste et un historien français, qui fut membre du gouvernement provisoire de 1848 et député sous la Troisième République.

On va se demander, comment Louis Blanc voit-il le rôle de l’Etat et des institutions dans le cas de la liberté depuis 1789 ?

Dans une première partie nous étudierons l’inégalité du peuple traduit par la hiérarchie, puis dans une seconde partie nous verrons les séquelles de cette inégalité.

1. L’inégalité du peuple traduit par la hiérarchie

Avant 1789, la population étaient divisé en trois ordres social ; la noblesse, le clergé et le tiers-états. Par la suite, cela a prospéré. C’est-à-dire que les nobles sont devenus des aristocrates et le tiers-état, le peuple. Naturellement, les aristocrates sont intelligent et le peuple moins. Donc nous parlerons de l’aristocratie (A) et du peuple (B).

1. L’aristocratie

L’aristocrate est le descendant du noble d’avant la révolution française de 1789. Evidement, le nobles étaient riches et ne travaillaient pas. C’est un ordre social qui est privilégié. Généralement, ce groupe social est héréditaire. La noblesse s'est vue toutefois rattachée à différentes notions, morales, politiques ou économiques, religieuses ou ésotériques, raciales, etc. Cela a donc continué dans le temps mais cela est devenu l’aristocratie.

Après avoir parlé de l’aristocratie nous allons parler du peuple.

1. Le peuple

Comme précédent, le peuple est la descendance du tiers-état d’avant la révolution française. Le tiers-états, donc le peuple, est pauvre. Il est obligé de travailler pour pouvoir se nourrir et nourrir sa famille. Cela est pareillement héréditaire puisque les enfants travaillent tôt, comme nous le dit le texte, « l’enfant du pauvre, qui détournait par la faim du chemin de l’école,  court vendre son âme et son corps […] pour grossir de quelques oboles  le salaire paternel ! ». De plus, cette phrase nous montre aussi que le peuple, dont les enfants en particulier, sont ignorants puisque ils n’ont tellement pas de quoi se satisfaire au niveau de la nourriture, puisqu’ils sont pauvres, qu’ils sont contraints à ne pas aller à l’école pour travailler et gagner de quoi manger. Ils nous donnent un tout autre exemple plus poignant, « elle est donc libre de se conserver chaste et pure, la fille du pauvre, qui, l’ouvrage venant a manquer, n’a plus qu’a choisir entre la prostitution et la faim ! ».

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