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Si C'etait L'homme

Commentaire d'oeuvre : Si C'etait L'homme. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  1 Janvier 2015  •  Commentaire d'oeuvre  •  643 Mots (3 Pages)  •  653 Vues

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qui reprennent la meme histoire, mais pas à la meme époque. On peut d'abord voir les differences entre les deux.

Les autours nous presente des végétaux, un chene et un roseau, avec une opposition entre la taille er la force de l'un (lignes 7-9 de La Fontaine) et la petitesse et la souplesse de l'autre (presence du verb 'plier' dans ls deux textes: LF ligne 21; Anouilh ligne 5).

Dans les deux cas, cette opposition physique est une l'allégorie pour l'orgueil et

l'humilité, liée étymologiquement avec la proximité avec la terre défini un renvoie des arbres à un individu.

Chez La Fontaine et l'allusion au corps humain (“tete” lignes 6 et 31, “front” ligne 7, etc...) confirment nettement cette idée d'allégorie commune aux deux textes.

Quant à la fable d'Anouilh, le lien entre ces arbres et les humains est rendu encore plus

explicite par le rapprochement avec les humains directement fait par le chêne : “ Plier, plier toujours, n'est-ce pas déjà trop, Le pli de l'humaine nature?”.

Pour le texte de Jean de La Fontaine on peut comprendre que le chêne fait semblant d'être fort alors que c'est fort il est faible le plus fort dans cette histoire c'est le roseau. Le chêne eprouve dans le texte de la compassion pour le roseau mais il paraît hypocrite.

Les deux dernieres lignes montre la fatalité de la mort du chêne donc le chêne se voit deraciné par le vent alors que le roseau est resté debout, mais avec habilité en courbant le tête. Par contre dans le texte de Jean Arnouilh, l'autour nous presente un'invertion des rôles:

-L'arrogance du Roseau.

-La dignité du Chêne.

On trouve l'idée d'un homme surprenant dans la fable de Jean de La Fontaine. En effet, malgré la supériorité apparente du chêne sur leroseau “Le moindre vent […] vous oblige a baisserqui reprennent la meme histoire, mais pas à la meme époque. On peut d'abord voir les differences entre les deux.

Les autours nous presente des végétaux, un chene et un roseau, avec une opposition entre la taille er la force de l'un (lignes 7-9 de La Fontaine) et la petitesse et la souplesse de l'autre (presence du verb 'plier' dans ls deux textes: LF ligne 21; Anouilh ligne 5).

Dans les deux cas, cette opposition physique est une l'allégorie pour l'orgueil et

l'humilité, liée étymologiquement avec la proximité avec la terre défini un renvoie des arbres à un individu.

Chez La Fontaine et l'allusion au corps humain (“tete” lignes 6 et 31, “front” ligne 7, etc...) confirment nettement cette idée d'allégorie commune aux deux textes.

Quant à la fable d'Anouilh, le lien entre ces arbres et les humains est rendu encore plus

explicite par le rapprochement avec les humains directement fait par le chêne : “ Plier, plier toujours, n'est-ce

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