Liberté d'expression
Résumé : Liberté d'expression. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Tamera Olc • 22 Mars 2022 • Résumé • 1 049 Mots (5 Pages) • 356 Vues
Dans notre société actuelle, la notion de liberté d’expression ressort de plus en plus dans les débats. La liberté d’expression a fait son apparition lors de Déclaration Universelle des Droits de l’Homme en 1748. Chaque individu a ce droit d’exprimer ses idées et ses opinions. Celle-ci a continué d’évoluer avec le temps, comme par exemple avec la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen en 1789, rendant chaque citoyens libres et égaux en droit. Dans notre société, deux camps sont apparus : celui pour laquelle la liberté doit être un droit de s’exprimer avec la liberté la plus totale, et l’autre pour laquelle la liberté doit être contrôlée par des institutions qui condamnent ceux qui en abuse. À l’heure actuelle la liberté d’expression est un réel droit fondamental pour les individus de notre société, elle est limitée afin de garantir le respect. On caractérise souvent la liberté d’expression par un débat ou une discussion, mais ça ne s’arrête pas forcément ici : on peut exprimer ses idées par la presse, les réseaux, l’art (poésie, street art, dessin, peinture, musique) et les manifestations. Nous pouvons la question suivante « la liberté d’expression doit-elle être régie par des limites ? » Pour répondre à cela nous verrons dans un premier temps que la liberté d’expression doit être restreinte par des limites, puis dans un second temps que la liberté d’expression est un facteur important dans notre société étant démocratique.
La liberté d’expression doit être contrôlée afin que les propos diffamatoires ne soient plus acceptés, ni tolérés. La loi de 1972, sanctionne les comportements racisme ou de haine homophobe, sexiste, ou discriminant une religion ne sont plus acceptables à partir du moment où les propos porte atteinte à autrui. Sanctionner ces comportements permet de garantir à tous une atmosphère de paix, car tous les citoyens demeurent égaux, aucun ne peux dire un propos plus haut que les autres. Poser des limites permet aux personnes abusant de leur pouvoir, d’être sanctionner. Peut importe si le propos diffamatoire est exprimé sous le ton de l’humour ou non, si celui-ci est mal interpréter le commettant de ce dommage sera coupable de son acte. Prenons l’exemple de l’hebdomadaire Charlie Hebdo, qui a publié des caricatures représentant le prophète Mahomet de manière injurieuse à l’encontre d’un groupe religieux. Cela a été classé comme un délit allant contre la loi de la liberté sur la presse.
Sur les réseaux la liberté d’expression est plus difficile à limiter. Les individus se servent de ce moyen de communication pour faire entendre leurs opinions sans tellement contrôler ou même faire attention à leur parole. Les réseaux ont un effet pervers : l’anonymat qui pousse les individus à se sentir invincible face à la loi. Mais pour certaines personnes pas besoin de cet anonymat pour se sentir invincible, prenons l’exemple de Mila. C’est une adolescente, qui pendant un live sur les réseaux, c’est permis de tenir des propos diffamatoires envers la religion Islamique : « votre religion, c’est de la merde ». L’histoire a prit de très grosse proportion allant jusqu’à des menaces de mort à l’égare de cette fille. Deux enquêtes sont alors ouvertes une pour incitation à la haine donc contre Mila et l’autre pour appel au meurtre contre les détracteurs. On voit bien ici que les limites sont posées par la loi et qu’elle s’applique à tous. Certes sur les réseaux la liberté d’expression est plus difficile à limiter car on ne peut tous contrôlés mais on voit qu’à partir du moment où l’histoire part loin et prend une telle ampleur, la limite devient contrôlée et la loi s’applique correctement.
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