L’existentialiste est un humanisme

L’existentialiste est un humanisme.

[Alinéas 1à 5]

2 reproches :

Catholiques Communistes

 Athéisme

 Gratuité = liberté de tout

 Relativisme moral (à chacun sa morale)  Quiétisme (l’inaction). Reproche infondé, qui touche beaucoup Sartre.

 Subjectivisme, qui chez les communiste veut dire individualisme. (contre sens)

Antihumanisme

Sartre dit dans l’alinéa 5, que les gens auraient peur de l’existentialiste car ça les laisserait choisir leur vie. La liberté fait peur. (cf texte mineur/majeur)

Il dénonce la liberté des hommes et leurs lâchetés par rapport à ça. Il appelle ça la mauvaise foi.

[Alinéa 6à 12]

6. L’essentialisme : l’objet.

Sartre décide de définir le mot car tout le monde l’utilise. L’existentialiste est une doctrine, mais il y a 2 existentialistes : le chrétien et l’athée. Ils ont en commun le fait de dire que l’existence précède l’essence. Il commence par faire un détour par son contraire : l’essence qui précède l’existence, il prend donc le coupe-papier comme exemple. (son rôle/utilité est préétablie avant sa création)

7. L’essentialiste : le sujet.

L’homme serait à Dieu ce que le coupe papier est à l’artisan. Sartre reproche à l’essentialiste du 18ème d’avoir une contradiction. La contradiction = être Athée et dire qu’il y a un concept humain. Il ne faut pas comprendre que Sartre supprime toute nature humaine.

Entendement = comprendre.

8. L’existentialiste

- le projet

- la responsabilité.

Nous existons d’abord, ensuite nous nous définissons, par nos actes. Nous sommes la somme de nos actes/choix. L’homme est libre, il décide de sa vie. Il n’y a pas de valeurs données d’avances, l’homme est entièrement remit à lui-même. Rejet de la nature humaine, que l’homme est enfermé dans des valeurs données d’avance.

Totalement contraire à Spinoza.

Je suis entièrement responsable de ce que je suis, mais en m’engageant j’engage aussi les autres. Agir c’est ce qui est préférable pour moi, l’individu ne cherche que le bien. Ce que dit Sartre, c’est que ce que faire un choix c’est proposer une valeur aux autres.

9. L’angoisse

Pas la même valeur que le sens commun, valeurs positive. L’angoisse est la conscience de la liberté, c’est la lucidité.

L’angoisse/lucidité différent de la mauvaise foi.

10/12 Le délaissement et le désespoir.

Délaissement là de Dieux. Il n’y a pas de valeurs prédéfinis d’avance, et je suis libre de mes choix si je fais ceci ou cela, je ne peux pas dire que c’est à cause ou grâce à Dieux.

L’exemple de l’homme qui hésite entre rester auprès de sa mère ou aller à la guerre. En restant avec sa mère il sait qu’il aidera concrètement une personne, en allant à la guerre on ne sait pas qui on aide, ni quand, ni où.

Il est dit aussi que nous pouvons choisir par sentiment. Mais comment savoir si on aime une personne ou non ? C’est en choisissant de rester avec sa mère que nous savons que nous l’aimons. C’est en partant à la guerre que nous réalisons que nous aimons plus le patriotisme que l’amour maternelle.

Lorsqu’on choisit un conseillé, on le choisi

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