Le Travail

Faut-il souhaiter la fin du travail?

Il parait aller de soi que le travail et de l’ordre de la contraintes, de la nécessité, alors, cela ne serait-il pas «rêve»? Le mot travail rime avec effort, pénible et s'oppose à plaisir, loisir; appréhender le travail sous la forme il faut travailler, ainsi c'est un ordre pour survivre puis pour envisager du plaisir.

La difficulté de la thèse travail et vie sociale puisqu'en effet le travail est une reconnaissance c'est au delà même de la vie possible par le travail avoir une vie sociale être intégrer à une société.

Par conséquent le problème et celui de savoir si il faut vraiment souhaiter la fin du travail (si cela était possible). Le travail ne serait-il pas plus qu'une nécessite vitale, la condition de notre humanité, puisqu'il est accepter que l'homme est «animal politique» (Aristote). Ainsi ne serais-ce donc pas là, la perte de notre humanité? Le problème de cette thèse c'est de supposer que la seule «activité» capable de nous humaniser et le «travail». Ne se réalisant-on que dans le travail? Tel une activité pénible, laborieuse, rémunérer, donc économique politique et sociale.

Deux axes peuvent être observé:

-Quel est la place est la fonction des individus ou des activités dans le carde du travail comme fait social. Leur existence va peut-être nous contraindre à réviser la conception de la naissance de la vie social à partir du seul travail.

-L'analyse de la division social du travail implique que tout individu travaillant dispose du produit de son travail (consommer ou vendre). Ce qui est opposable

Ainsi soutenir que la division social du travail et une cause de la soumission de l'individu est-elle admissible? Puisque l'individu ne peut pas se suffit a lui même, puisque l'autonomie n'est possible qu'à l'échelle de la collectivité, tous les individus sont dans la nécessite de s’intégrer dans cette division social du travail. L'individu ne peut survivre quand prenant une place dans cette organisation, à ce titre il est soumit à l'ordre social.

Cette division ne permet pas à elle seule de crée les conditions de l'autonomie de la collectivité, elle doit être accompagner d'échange. Les échanges de ce que nous consommons et produisons.

2) Les échanges

Qu'est ce qu'on échange? Ce qu'on produit. Qu'est ce qu'on produit? Quelque chose d'utile, à quelque chose qui vaut en fonction de son utilité (valeur d'usage). Peut on échanger équitablement ces valeurs d'usage.

a) La valeur d'échange

C'est Aristote qui est l'auteur de la distinction entre la valeur d'usage et la valeur d'échange, il y en a la paternité intellectuel. La Politique livre I

Un bien peut être produit soit pour être consommer soit pour être échangé, tous ces biens consommables ou échangeables on une valeur d'usage et d'échange. Aristote explique qu'il n'y a pas de critère objectif permettant d'instaurer un système d'équivalence, le seul critère c'est l'entente de ceux qui échanges.

Aristote explique aussi que l'apparition de l'idée de valeur d'échange et à l'origine de la création de l'argent qui en est la symbolique, néanmoins ne confondais pas le prix d'une chose et sa valeur d'échange.

N'est il pas possible de mesurer de manière objective cette valeur d'échange?

B Le travail comme fait social: condition de l'indépendance individuelle

1) La société marchande fait-elle le bonheur

A première vue l'individu a plus à perdre qu'à gagner dans cette organisation sociale du travail il doit y trouver une place afin d'assurer sa survie. Il doit se sacrifier à l'ensemble de la collectivité pour pouvoir en retour vivre et consommer.

En effet cette intégration et indépendance sociale qui sont corrélativement actives dans l'idée de sacrifice. En effet l'homme s'intègre par la division sociale et à la division sociale ainsi s'épargne l'exclusion. C'est par la consommation et les rencontres des autres que s’établit la reconnaissance, l’intégration et l'indépendance social.

Adam Smith: la division sociale du travail et les échanges sont les conditions de l'indépendance individuel du fait de l'inter dépendance de tous avec chacun.

Il pose deux types de dépendance: soit politique/socio-politique soit économique/socio-économique. Par dépendance, il faut entendre le fait d'être soumit à quelqu'un d'autre. Avec la première tous dépend de quelqu'un ou d'un seul. Avec la seconde, chacun dépend de tous par la division social du travail. Puisque chacun dépend de tous et tous dépend de chacun alors cette dépendance n'est pas assujettie à un seul. Parce que tous dépend de nous autant que nous dépendons de tous les autres, chacun est indépendant. Dépendre de tous ce n'est dépendre de personne c'est donc être indépendant, l'inter dépendance de tous garantie l’indépendance pour chacun. Cette division sociale du travail au delà de rendre les individus indépendant des uns des autres elle rend aussi possible l'autonomie individuel.

A quoi tiens l'inter dépendance des individus? Au fait qu'il n'exerce pas tous le même travail donc qu'il se différencie tous par leur activité l'inter dépendance est l'effet des différentiations politiques.

Cela implique que plus la cohésion sociale est forte et plus l’intégration sociale des individus est assuré.

2) Le problème des conflits sociaux

Les grèves, les révoltes paysannes (celles des esclaves) les révolutions politiques révèlent au sein du travail un jeu de pouvoir de rapport de force, pourquoi? Parce que les conflits oppose ceux sur lesquelles s'exercent un pouvoir trouvé injuste

C)Le travail comme fait social et techniques la cause de nos malheurs?

1) Le travail est-il servile

Est-il exact de soutenir que les besoins, le travail et la collaboration entre les individus est à l'origine de la vie sociale? L'existence même de relation de pouvoir n'indique t-il pas au contraire que ce qui

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