L'étude de l'histoire nous conduit-elle à désespérer de l'homme
Analyse sectorielle : L'étude de l'histoire nous conduit-elle à désespérer de l'homme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar pondix • 9 Février 2015 • Analyse sectorielle • 508 Mots (3 Pages) • 1 033 Vues
L'étude de l'histoire nous conduit-elle à désespérer de l'homme ?
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L'étude de l'histoire nous conduit-elle à désespérer de l'homme ?
Philosophie
Aperçu du corrigé : L'étude de l'histoire nous conduit-elle à désespérer de l'homme ?
Publié le : 4/3/2004 -Format:
L'étude de l'histoire nous conduit-elle à désespérer de l'homme ?
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L'histoire est une sorte d'éternel Retour du pire, sous des aspects différents, se sont toujours les mêmes violence, les mêmes injustices. Toutes les sages résolutions prises par les hommes après un terrible conflit sont aussitôt oubliées. MAIS, conventions internationales, déclarations des droits de l'homme, Traités en tout genre manifestent une volonté affirmée de ne pas répéter éternellement les mêmes erreurs que par le passé. L'histoire ne conduit donc pas à désespérer en l'homme mais à croire en sa perfectibilité.
Le texte de Kant a inspiré la création de la SDN et de l'oNu, avec des résultats mitigés on le sait. Kant ne fait pas oeuvre d'historien. Réfléchissant sur l'histoire des hommes, il affirme qu'on ne peut pas, en s'appuyant sur l'expérience, prouver que l'histoire a un sens : celui du progrès moral de l'espèce humaine. Mais on peut le penser et, même, c'est un devoir de se placer sous cette Idée. La raison pratique (la morale) commande absolument aux hommes de mettre fin aux guerres. Peu importe que cette idée puisse paraître chimérique. Le devoir nous impose d'agir et de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour que le monde soit en accord avec ce que notre raison exige. C'est pourquoi Kant considère comme l'une des fins essentielles de l'humanité l'établissement de relations internationales régulières et la constitution d'une confédération des États qui protégerait, par la force commune de tous, les droits de chacun d'eux, même et surtout des plus faibles. On est encore loin, aujourd'hui, d'une communauté civile universelle. On peut cependant constater des débuts de réalisation avec la S.
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