La conscience fait elle la misère ou la grandeur de l'Homme ? 12/20
Dissertation : La conscience fait elle la misère ou la grandeur de l'Homme ? 12/20. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar gggggggguuu • 1 Mars 2022 • Dissertation • 1 006 Mots (5 Pages) • 576 Vues
VINCENT
Maë
Philosophie
Platon est un philosophe grec, élève de Socrate, il écrit de nombreux ouvrages sous forme de dialogues d’une grande richesse de style et de contenus. Chacun de ses écrits s’interroge sur un sujet donné, tel que le courage ou encore l’unité de l’univers. Il est le concepteur de la Théorie des formes : pour lui, le réel est un « ensemble de copies qui participent à leur modèle immuable ». Il prône le « gouvernement des meilleurs » : l’Aristocratie. Il affirme que l’âme est formée et éduquée par le régime politique qui la gouverne. Gorgias est un recueille de texte de Platon au 4eme et 5eme siècle avant Jésus Christ. Platon fait intervenir un personnage fictif nommé Gorgias qui répond au philosophe Socrate.
Quel rôle donner à la rhétorique ? Est-elle un danger ou est elle un pouvoir privilégié ?
Nous verrons dans un premier temps que l’auteur nous partage son expérience par rapport à la rhétorique , dans un deuxième temps nous verrons qu il appuie son argument avec un exemple, dans un troisième temps il montre la puissance de la rhétorique et dans un dernier temps Platon nous mets en garde de l utilisation de la rhétorique.
Dès le début du texte, l’auteur nous montre la supériorité du langage sur la pratique. On peut le voir que dans les première ligne il valorise la rhétorique avec « des vertus efficaces que la rhétorique tient sous sa domination ». Par la suite, l’auteur nous pose son expérience, qui est que les médecins se retrouve démuni face à leurs patient qui ne veut pas suivre un traitement, seule quelqu’un qui utilise la rhétorique réussira à le convaincre de suivre son traitement. Cette expérience nous montre clairement que que la rhétorique a des avantages et est essentielle dans le bon fonctionnement des choses.
Donc dans cette partie, Platon nous fait part de son expérience, de son vécu, où il est intervenu avec sa rhétorique pour solutionner une complication courante d’un médecin. C’est d’ici qu’il commence à nous parler de la puissance de l’aisance oratoire.
Ensuite, l’auteur nous donne un exemple pour alimenter son propos. Il nous dit qu’un jour si l’on devait choisir entre deux Hommes pour leur donner le rôle de médecin, il nous dit que celui qui pratique la rhétorique sera privilégié au vrai médecin car celui qui sait utiliser les mots même s’il n’a pas le savoir du métier, il sera écouté et n’aura aucun mal à répondre et à attaquer son adversaire avec la force des ses mots. Durant cette partie, Platon insiste sur son idée, il répète deux fois la phrase « je pèse mes mots » en disant ensuite que l’orateur sera pris à tout les coups, Platon est sur de ce fait.
Dans cette partie, Platon nous décrit son exemple sur la puissance et la facilité d’un grand orateur pour faire ce qu’il veut.
Par la suite, Platon nous généralise cette exemple avec tout les métiers, il met en scène une compétition fictive qui rassemblerai un « Homme de la rhétorique » avec n’importe quel technicien qualifié. Le résultat est que la « puissance » de la rhétorique écraserai tout les concurrents. Il mets aussi en fiction une foule pour dire que ces paroles peuvent manipulés tout le monde. Il finit par proclamer que la rhétorique est un métier et donc que l’élite qui maîtrise et pratique ce métier sont très puissant et peuvent persuadé tout un public de rallié leur cause.
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