Le déontologisme
Dissertation : Le déontologisme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Subi Yogalingam • 8 Décembre 2020 • Dissertation • 1 130 Mots (5 Pages) • 673 Vues
LE DÉONTOLOGISME
Mesure d’urgence (Extreme Measures) est un film de suspense et de criminalité américain de 1996 basé sur le roman de Michael Palmer de 1991 portant le même titre, traitant de l’éthique des sacrifices médicaux. Cette œuvre présente un personnage dans le rôle d’un docteur, Dr Lawrence Myrick, l’une des figures les plus respectées du monde médical américain. Ce personnage kidnappe et pratique des expériences douloureuses qui peut causer la mort sur des innocents. Il prétend qu’il vise à trouver une remédie contre les conditions graves pour pouvoir sauver un grand nombre de personnes malades et, aussi, son plus proche. Ce qui met en question, son action est-elle moralement acceptable ou non.
Tout d’abord, la déontologie vient d’un mot grec signifiant «obligation» ou «devoir». C’est une théorie philosophique ou une méthode qui affirme que chaque action humaine doit être jugée selon son accord (ou le contraire) à certains devoirs. Qu’il doit réaliser une action seulement, si l’action est essentielle par des règles absolues qui s’appliquent à n’importe quelles conséquences! Ces règles prennent la forme d’un interdit, aussi connu comme «contraintes déontologiques» qui démontrent qu’il y a une limite à tout.
Dans le même ordre d’idées, un impératif catégorique est un devoir, mais inconditionné, il est formé de la raison pratique et la morale. À cet égard, Kant, un philosophe allemand, exprime qu’un impératif catégorique «c’est une représentation d’une action comme nécessaire pour elle-même, et sans rapport à une autre but, comme nécessaire objectivement.» (p.34). La raison n’est pas parfaitement adaptée au bonheur, mais elle est une loi, un désir et un principe. C’est un impératif commandement qui fait une action à une chose, telle qu’une expérience, un résultat, un désir ou une conséquence qu’on veut possiblement ou qu’on veut effectivement. La raison est liée à la morale. La morale est une forme d’obligation ou un devoir qu’il faut toujours obéir, donc c’est un impératif catégorique. Elle doit être désintéressée et doit être agie rationnellement.
Pour continuer, les impératifs hypothétiques sont similaires à l’impératif catégorique, mais sa raison est formée d’une faculté pratique. Elle est un ordre absolu qui oblige un individu à agir raisonnablement en fonction d’un but personnel et des circonstances. Kant exprime que : «Les impératifs hypothétiques représentent la nécessité pratique d’une action possible, considérée comme moyen d’arriver à quelque chose que l’on veut (ou du moins qu’il est possible qu’on veuille).» (p.34). C’est-à-dire que l’action est représentée comme une «bonne» nécessité ou un acte. Son action a pour but de la perception, le concret et l’empirique. Elle est voulue et désirée, qui donne un effet, un résultat ou une conséquence. Elle exprime de deux façons différentes d’une part, en tant qu’un principe problématiquement pratique, c’est lorsque l’impératif exprime que l’action est bonne en vue d’une fin possible. Ensuite, en tant qu’un principe assertoriquement pratique, c’est lorsque l’impératif exprime que l’action est bonne seulement en vue d’une fin réelle.
Dans un autre ordre d’idées, la première formule est le contraire d’un impératif hypothétique, puisqu’il s’agit d’une loi universelle et non d’un but personnel. En raison que la 1re formule est le principe de la loi universelle. Si une loi est bonne pour tout le monde, c’est parce qu’elle est accessible à tout le monde. Cette action morale ne peut pas être déduite de n’importe quelle loi. Pour qu’elle soit morale et que notre action qui suit cette loi soit elle aussi morale, elle doit être obéie à certains critères et doit être conforme à «l’impératif catégorique». Kant défini qu’il faut «agi [r] uniquement d’après la maxime qui fait que tu peux vouloir en même temps qu’elle devient une loi universelle.» (p.43), c’est-à-dire, une règle d’action n’est morale que si elle est universalisante, applicable non seulement par sois-même, mais aussi par tout le monde. Voilà pourquoi le mensonge ou le vol sont pour Kant moralement inexplicables parce qu’il s’agit de maximes qui ne sont pas universalisâtes.
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