1984, Orwell

1984 est un roman politique dirigés contre les régimes communistes naissants au début des années 50 s’inspirant beaucoup du régime de Staline. Il décrit une société totalitaire absolue de la façon la plus extrême que l’on puisse l’imaginer. Le titre de cette œuvre indique qu’Orwell voit une possibilité de la venue d’un tel monde. Ainsi, Orwell dénonce l’idéologie et la pratique politique des partis communistes et anticipe un monde futur où la liberté d’expression n’existe plus.

Ce livre m’a plu et surpris à la fois. J’ai eu du mal au départ pour la lecture mais au fil du temps le livre était de plus en plus intéressant. Il m’a beaucoup fait réfléchir, notamment lorsqu’on a pu lire le contenu du livre de Goldstein. L’ouvrage m’a aussi surpris lorsque Winston et Julia se sont fait prendre lors de la lecture du livre et lors de la révélation de la réelle identité de O’Brien. J’ai aimé le personnage mystérieux et mystérieux de Big Brother, le fait qu’on ne sait pas s’il existe vraiment puisqu’il n’est jamais vraiment apparu de plus qu’il soit omniscient est très intriguant. Cependant, la longueur de l’œuvre n’était pas encourageant

O'Brien a toujours voulu que Winston abandonne Julia. Avec l’esprit brisé, Winston est libéré dans le monde extérieur. Il rencontre Julia mais ne ressent plus rien pour elle. Il a entièrement accepté le Parti et a appris à aimer Big Brother.

En 1984, le monde est divisé en trois régions en guerres : l’Océania, l’Eurasia et l’Estasia. L’Océania, regroupe les pays anglo-saxons, est soumise à la dictature du Parti de l’Angsoc qui surveille la population jusque dans leurs habitations par le biais de télécrans. Winston Smith vit à Londres dans la capitale. La population est incitée à dénoncer tout comportement déviant et à glorifier son leader suprême, Big Brother.

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