Maynard travail noté 3

CHapitre 1 questionnaire

qUESTIONNAIRE

Autoévaluation semaine 1 - Tentative 1

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Question 1

Selon vous, qu’est-ce que la GESTION ?

Ma réponse : Une série d’activités intégré et interdépendantes, utilisant plusieurs moyens (financier, humains, matériel, etc) pour arriver à générer une production de biens ou services économiquement et socialement utiles tout en étant rentable.

Question 2

Bien qu’il soit convenu de dire que le métier de gestionnaire s’apprend avec l’expérience, est-ce dire pour autant que l’enseignement de la gestion n’a point D’UTILITÉ ?

Ma réponse : Non. L’enseignement de la gestion donne des idéologies, des principes et une discipline de travail tout en tenant compte du contexte socio-économique que le gestionnaire doit faire face. L’enseignement de la gestion sert d’appui aux gestionnaires.

Question 3

La gestion telle qu’elle se pratique dans les organisations est le reflet du monde dans lequel elle prend forme. Elle participe, par le fait même, à la reproduction et à la transformation de ce monde. Expliquez à cet effet en quoi consiste l’imbrication gigogne des systèmes managérial, économique et sociopolitique, telle que présentée par les auteurs de votre LIVRE ?

Ma réponse :

Question 4

Donnez un exemple nous démontrant que la gestion en tant que concept, métier et discipline relève d’un certain ancrage idéologique.

Ma réponse : Le gestionnaire doit se demander «comment faire» et aussi «pourquoi» nous gérons de telle façon et gérer son entreprise avec les valeurs et la culture de sa société.

Question 5

En quoi l’imbrication gigogne des systèmes managérial, économique et sociopolitique contribue-t-elle à expliquer le fait qu’il n’existe pas de recette universelle en GESTION ?

Ma réponse : La différence entre les sociétés, leurs valeurs, leurs cultures, leurs contextes économiques et leurs politiques de société influencent les gestionnaires issues de cette dite société. Ces différences influencent la façon d’approcher le mangement des entreprises. Les gestionnaires sont humains et doivent travailler avec différent environnements (sociétés, lois, valeurs, cultures)

Question 6

La révolution industrielle représente un changement majeur dans l’histoire économique occidentale. Quelle était la raison d’être de la gestion et des marchés lors de cette révolution?

Ma réponse : La raison d’être de la gestion était de réduire les coûts de production, réduire le temps de production, augmentation de la qualité des biens, augmentation de la production et faciliter la formation au travail pour une objectif finale étant la rentabilité par l’augmentation de la productivité. La raison d’être des marchés étaient de fournir des capitaux aux entreprises industriels pour leur développement.

Question 7

En quoi consiste le concept d’homo œconomicus?

Ma réponse : L’être humaine est un agent rationnel, amoral, asocial et opportuniste, dont le seul et unique but est de maximiser ses intérêts sur un marché, ce dernier devenant la figure centrale du système économique et sociopolitique au détriment de la société elle-même.

Question 8

À la fin du XIXe siècle, en quoi consistait l’intervention de l’État dans l’activité économique?

Ma réponse : À relancer l’économie si celle-ci présentait des signes de ralentissement ou de crise par un investissement majeur dans des projets de société ou autres. Le marché n’étant pas capable de se relancer par lui-même, l’État doit donc jouer le rôle de stimulateur pour un certain temps pour contrer ce cercle vicieux.

Question 9

Toujours à la fin du XIXe siècle, en quoi consistait la logique de production tayloriste? Quels éléments ont cautionné la légitimité de cette logique, qui sera utilisée par Henry Ford?

Ma réponse : La logique de production Tayloriste consistait à retirer l’aspect artisane de la production en utilisant une direction scientifique et division systématique des taches pour réduire les pertes de temps de la part des ouvriers et des patrons. Les éléments qui ont cautionné cette logique étaient de concilier les intérêts économiques des ouvriers et des patrons pour une meilleure stabilité économique d’entreprise à long terme durant cette période industriel où les ouvriers pensent que l’augmentation de la production va les mener au chômage et aussi par une non croyance que l’augmentation de leur rythme de travail va mener directement à un meilleur salaire.

Question 10

D’après vous, existe-t-il encore des entreprises se réclamant de la logique de production tayloriste?

Ma réponse : Oui, les industries de l’automobile, du textile et même des manufactures industrielles divers, spécifiquement en Asie (technologie, jouets, objet bon-marché en grande production)

Question 11

L’époque de la Seconde Guerre mondiale est marquée par la pensée de Keynes. En quoi consiste-t-elle et en quoi remet-elle en question le concept du libre marché?

Ma réponse : La pensé de Keynes consiste à l’intervention de l’État durant un ralentissement économique ou une crise par l’investissement dans de grand projets de société comme en infrastructure pour sortir le marché de cette situation. Le marché n’étant pas capable de s’en sortir par lui-même créant donc un cercle vicieux ou, la production ralentit donc, la pouvoir d’achat ouvriers diminue, donc la demande diminue et ainsi de suite. Cette pensée de Keynes remet en question le fait que le Libre Marché doit s’autoréguler et que les lois de libre marché vont régler les situations se présentant à lui par lui-même.

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