L’entrepreneur et le manager
Étude de cas : L’entrepreneur et le manager. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar gla.lrd • 20 Janvier 2022 • Étude de cas • 3 250 Mots (13 Pages) • 1 630 Vues
Devoir de CEJM
Activité 1 : L’entrepreneur et le manager
BlaBlaCar : pourquoi Mazzella passe le volant à Brusson
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Ingénieur et créatif, plus amoureux des sciences que des chiffres, pas vraiment motivé par la gestion de l’entreprise au quotidien, très porté sur le marketing, Frédéric Mazzella est un entrepreneur atypique. En 2009, il n’avait pas 1 euro en poche, mais déjà un business plan établi sur cinq ans, se souvient Benoist Grossmann, patron du fonds d’investissement Idinvest Partners. Il avait tout prévu : comment faire payer les covoitureurs, créer la marque et se déployer à l’international. […] Il tapera tout de suite dans l’œil de Pierre Kosciusko-Morizet et de Jean-David Chamboredon, respectivement cofondateur et président exécutif du fonds Isai, auprès desquels il va lever 1 million d’euros. […]
Dans le nouvel organigramme, Frédéric Mazzella a désormais le titre d’executive chairman (président fondateur) ayant cédé celui de CEO (directeur général) à Nicolas Brusson, le deuxième pilier de BlaBlaCar [qui se chargera] des levées de fonds et du développement à l’international. « Moi, je me sens plus entrepreneur que patron. Mon rôle est davantage d’insuffler une direction, de créer de nouveaux usages » [précise Frédéric Mazzella]. Il repart à l’attaque avec un nouveau projet : BlaBlaLines, un site de covoiturage axé sur les trajets de courte distance domicile-travail.
Pauline Damour, www.challenges.fr, 15 juillet 2017.
Montrez que le business plan a été très utile lors de la création de BlaBlaCar.
Lors de la création de BlaBlaCar, Frédéric Mazzella a rapidement prit la décision de faire un business plan, car ce dernier explique n’est pas motivé par la gestion de l’entreprise au quotidien. Grâce à la création de son business plan, il a pu prévoir un plan sur cinq ans. Alors qu’il n’avait même pas un euro en poche, il avait déjà tout prévu au niveau de la gestion de son entreprise sur les cinq prochaines années. Cette action lui permettra de trouver rapidement des investisseurs.
Pourquoi Frédéric Mazzella cède-t-il la direction de BlaBlaCar à Nicolas Brusson ?
Frédéric Mazzella prend la décision de céder la direction de BlaBlaCar à Nicolas Brusson car comme expliqué dans le document, ce dernier possède un profil d’entrepreneur atypique avec sa créativité et son côté ingénieur. Mais ce dernier n’est pas alaise avec les chiffres et donc la gestion d’une entreprise, il ressent qu’il ne possède pas une fibre de patron contrairement à Nicolas Brusson qui se chargera des levées de fond et du développement à l’international.
Identifiez les rôles des deux cofondateurs de l’entreprise.
Frédéric Mazzella possède le rôle de président fondateur, c’est-à-dire que sa voix compte dans les décisions prise dans l’entreprise, mais Frédéric possède une logique entrepreneuriale, il sait donc reconnaitre les opportunités pour les exploiter dans le bon sens et créer une valeur à ses idées. L’entrepreneur met souvent en place des plans d’action risquées. Alors que Nicolas Brusson est directeur général, sa voix compte donc aussi dans les décisions prise dan l’entreprise, mais ce dernier possède plus une logique dite managériale, c’est à dire qu’il prend des décisions pour augmenter le chiffre d’affaire de l’entreprise et développer les performances de celle-ci. Le manager quant à lui doit penser sur le long terme et donc doit avoir une réflexion rationnelle avec des règles établies.
Quels peuvent être les avantages de cette nouvelle organisation ?
Cette nouvelle organisation apportent de nombreux avantages à l’entreprise car cette dernière peut profiter des compétences des deux cofondateurs car chacun des deux on la place qui leur correspond. Ils peuvent donc mettre à profit leurs logiques qu’elle soit managériale ou entrepreneuriale.
Activité 2 : La création d’une entreprise innovante
Asamgo crée Ofi, l’objet flottant intelligent
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La jeune entreprise brestoise Asamgo a participé du 9 au 12 janvier 2018 au CES, le célèbre salon de la high tech à Las Vegas. La start-up bretonne y a présenté son objet flottant intelligent baptisé OFI. Lumineux et design, il permet de gérer l’eau de sa piscine grâce à un système de sondes qui transmet en temps réel sur un smartphone la qualité de l’eau, la température, le niveau de chlore et le PH. Fini le temps où les mesures se réalisaient de manière aléatoire avec des testeurs électroniques ou en papier.
L’OFI sera fabriqué en France par des sous-traitants et commercialisé au prix de 459 euros. Pour lancer leur projet, les quatre associés ont réuni 500 000 € en love money (capitaux apportés par les amis, la famille ou les proches) et en empruntant auprès des banques et de Bpifrance.
Stanislas Du Guerny, Les Échos, 12 décembre 2017.
Quelle est l’idée proposée par les créateurs d’Asamgo ?
Les créateurs d’Asamgo ont crée OFI, il s’agit d’un objet flottant intelligent. Ce dernier est lumineux et design, il permet de gérer l’eau de sa piscine grâce à un système de sondes qui transmet en temps réel sur un smartphone la qualité de l’eau, sa température, le niveau de chlore et de PH.
Classez cette invention parmi les innovations de Schumpeter.
Comment les créateurs d’Asamgo ont-ils financé la création de leur entreprise ?
Les créateurs d’Asamgo ont réussi à financé la création de leur entreprise grâce au système de love money, c’est à dire que se sont ses amis, la famille ou les proches qui apportent des capitaux et en empruntant auprès des banques et de Bpifrance.
Quel est le rôle de Bpifrance auprès des créateurs d’entreprise.
BipFrance est une banque publique d’investissement, elle aide les nouvelles entreprises avec des idées révolutionnaires dans la création de son business plan et la mise en place de ce dernier. Elle finance les entreprises à chaque étape de leur développement.
Activité 3 : Un profil d’entrepreneur
L’entrepreneur récidiviste se met à table
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Trois mois à peine après avoir quitté Teads, l’entreprise qu’il avait créée, Loïc Soubeyrand lance un nouveau projet : Lunchr, un site Internet de restauration.
Il n’a pas pris d’année sabbatique, pas plus qu’il n’a fait le choix d’éteindre pendant quinze jours son téléphone portable. Trois mois après avoir donné sa démission de Teads, entreprise qu’il a cofondée et dont il demeure actionnaire, Loïc Soubeyrand est redevenu entrepreneur. Lui qui a contribué à mener sa première société au rang de leader de la publicité vidéo non intrusive sur Internet – Teads a réalisé 200 millions d’euros de chiffre d’affaires et emploie 500 personnes –, c’est dans la Food Tech que le Montpelliérain a décidé de porter son intérêt.
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