Devoir de culture générale et expression
Dissertation : Devoir de culture générale et expression. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar b23121994 • 26 Mai 2017 • Dissertation • 1 524 Mots (7 Pages) • 1 224 Vues
Numéro indicatif : 3-080187-DV-WT-02-15 DEV-02 Nom : Trouillet
Code matière : 0187 Prénom : Betty
Devoir intitulé : Culture Générale et Expression
Nom du professeur correcteur :
Observations du professeur : Note :
/20
Devoir 02 :
Première partie sur 40 points :Vous rédigerez une synthèse concise, objective et ordonnée des documents suivants.
Document n°1 : << Éloge du cadeau >>, Pierre – Marie MARTIN, Kafkaïens Magazine, n°17, 2001.
Problématique : Quel est l'effet, d'une marchandisation, poussée de l'acte d'offrir ?
Pierre – Marie MARTIN établit un lien entre le cadeau et le rituel. Le cadeau en lui-même est considéré comme acte social rentrant dans une réalité culturelle. Le cadeau, va faire plaisir non seulement à la personne qui l'offre mais également, à celle ou celui qui le reçoit. A savoir que la personne recevant ce cadeau, il arrive que le cadeau ne lui plaise pas forcément. Il faut également adapter tout de même le cadeau en fonction de l' événement, des circonstances mais aussi par rapport aux envies de celle ou celui qui va le recevoir. Un cadeau réussi se définit, par préparer son cadeau soi-même avec les circonstances et l'ambiance du moment. Ce qui signifie que le cadeau réussi est une préparation préalable.
Pierre – Marie MARTIN évoque ensuite l'échange de cadeaux en mettant toujours ce lien de rituel. On parle de calque, tout d'abord l'échange de biens qui se calque sur l'échange social puis pour finir se calquera sur l'échange de biens sociaux. Autrement dit les échanges de cadeaux sont des cadeaux de valeur marchande. Cet échange crée d'ailleurs un impact sur notre relation sociale. La relation sociale se trouve donc modifié par le cadeau, on parle alors dans ce cas de valeur symbolique par rapport à l'échange de biens. La valeur du cadeau aurait ainsi une importance sociale de l'échange plus que sa propre valeur elle-même relève une théorie. Beaucoup de choses ont changé depuis que des dates sont fixés, des événements pré-définit qui nous oblige presque à participer à l'événement de par la publicité. Ce qui rend cet engagement non personnel que s'il était engagé par nous-même.
Pour conclure, Pierre – Marie MARTIN en déduit, que de par la marchandisation, la valeur disparaît. La valeur élevé du cadeau réduit alors l'importance de l'acte social. Internet va provoquer par la suite ainsi une rupture du bien physique, entre la personne qui va offrir le cadeau et la personne le recevant, à partir du moment ou toute la démarche du cadeau se fera par internet. Il n'y-aura donc pas de rupture si le cadeau est accompagné d'un geste ou lien physique. Internet devient ainsi le lancement de cette marchandisation.
Document n°2 : Extrait d'un article en ligne, site 1libertaire , Toulouse, 14 avril 2002.
Problématique : Le marketing est-il bon ou mauvais pour le consommateur et la société ?
L'article nous parle de la consommation du cadeau qui est comparer à un accélérateur de commande mais également à un moyen d'attirer l'attention du consommateur. La publicité elle son rôle est de créer un lien affectif avec le client et la marque pour le pousser à acheter le produit concerné. Tout est calculé par les marketeurs qui étudient chez le consommateur, sa psychologie mais aussi son histoire culturelle et sociale. L'article nous rappel également que le cadeau a toujours fait partie de la vie sociale depuis l'humanité. Il énonce trois qualités : la générosité, le partage et la charité.
On ne peut établir si le marketing est bon ou mauvais tant pour le consommateur que pour la société, en raison d'un trop long débat.Tout est planifié par les marketeurs dans le but de vendre le maximum de produits par rapport aux entreprises concurrentes. Le marché de la concurrence s'agrandit à ce jour, chaque jours un peu plus. Les marketeurs ont un double objectif : obtenir le maximum de ventes et créer un univers de sympathie. Ces deux objectifs garantiraient la pérennité de l'entreprise.
En conclusion, offrir signifierait attendre en retour quelque chose. Le cadeau représenterait l'incertitude et la richesse des relations humaines. Hors offrir un cadeau c'est ne rien attendre en retour, seulement garder à l'image le plaisir d'offrir.
Document n°3 : Extrait de La Place, Annie ERNAUX, Éditions Gallimard.
Problématique : Que représenterait le cadeau ?
Annie ERNAUX, nous fait part de sa visite chez son père. Annie est professeur de français et mariée à un ingénieur, tandis que son père lui est un petit commerçant. Venue lui offrir un cadeau, sans événement spécifique, son père réagit de manière à montrer que le cadeau cadeau ne lui plaisait pas. Annie ERNAUX cache ainsi sa tristesse en se disant qu'il est et restera toujours le même, une personne pour qui la valeur assez élevée d'un cadeau n'a aucun intérêt .
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