Redéfinir l'entreprise en son rôle
Cours : Redéfinir l'entreprise en son rôle. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Thomas Tastevin • 14 Novembre 2018 • Cours • 1 244 Mots (5 Pages) • 431 Vues
Chapitre 1 : Redéfinir l’entreprise en son rôle
Fin d’un cycle :
- Début : Ere Reagan Thatcher
- Intensification : des la chute du mur de Berlin
- Aboutissement crise américaine des subprimes
Les origines de la crise : crise éthique
Pratique des milieux financiers, actionnariat, excès, as de régulation, complexité conflits d’intérêts
Tendances :
- Economie de partage
- Ubérisation
- IA et robotisation
- Economie de data
Impact des entreprises : Parties prenantes, quartiers, villes, citoyens
Fortes attentes vis-à-vis de l’entreprise : Création d’emploi, amélioration condition de travail, insertion des jeunes, employabilité
Les nouveaux contours de l’entreprise que souhaitent les français :
- Soucieuses problématiques sociales, sociétales et environnementales
- Combinant avantages grandes entreprises et PME
- Partage profit plus équitables
- Place plus importante salariés dans la gouvernance
Résultats enquête sur les française et l’entreprise :
Bonne mais fragile image de l’entreprise
Une perception hétérogène avec un clivage sur les groupes socio-économiques
Les Français entretiennent un rapport différencié avec l’entreprise : confiance, attachement et enthousiasme chez les catégories sociales supérieures ; méfiance, voire colère, chez les catégories sociales moyennes et populaires
Une qualité d’image proportionnellement inverse à la taille de l’entreprise
Plus de 3 Français sur 4 s’accordent sur le fait que l’entreprise est un lieu de formation, de création, d’innovation et de transmission.
Performance de l’entreprise, relations humaines et utilité de l’entreprise sont les trois principales raisons pour lesquelles les salariés sont fiers d’appartenir à leur entreprise
Quand il s’agit de leur entreprise, les salariés font confiance aux dirigeants pour améliorer les choses.
Si les Français comptent avant tout sur eux-mêmes pour améliorer les choses dans la société, les acteurs publics sont également plébiscités.
Lorsque l’on rentre dans le détail des domaines d’action, quatre acteurs complémentaires se détachent : L’Etat, les entreprises, les citoyens et l’école.
Pour l’emploi, l’innovation, la création de richesse, les conditions de travail, l’insertion des jeunes et l’employabilité, les Français comptent en priorité sur les entreprises.
Pour une approche systémique :
Un système est doté d’une logique de fonctionnement
Le système dépasse la somme des éléments qui le composent
Repose sur la communication et l’information
Concilier les 3 aspects de la RSE : Ethique (responsabilités de l’orga), Altruiste(lié bien -être de la communauté humaine), stratégique(lié à son développement autant qu’à son image)
Chapitre II : Une question éthique
Morale : le bien ou le mal considérés comme des valeurs absolues et transcendantes
Ethique : le bon et le mauvais considéré comme valeurs relatives
Déontologie : science des devoirs. Chaque profession a ses règles qu’elle doit respecter.
Théorie des vertus :
Le vice s’oppose à la vertu
Le vice n’est pas mal mais un manque ou un exces
Chacun doit trouver le juste milieu
Les vertus du management : Franchise, le Jugement, La fidélité
Pas de RSE sans éthique :
- Ethique : responsabilités légales et éthique de l’organisation
- Altruiste : bien être de la communauté
- Stratégique : Réputation de l’organisation
Max Weber : éthique de conviction, éthique de responsabilité
Les origines de la RSE :
- Le terme : ouvrage de Howard Bowen en 1963
- Les racines : doctrine sociale de l’Eglise catholique
- Le puritanisme américain et la philanthropie
- France dans les années 60
Théories des parties prenantes :
« Tout groupe ou individu qui peut affecter l’atteinte des objectifs de l’entreprise ou être affectée par celle-ci »
Apport de la théorie : Repenser définition de l’entreprise, Repenser la propriété et la gouvernance, remettre notion de projet de groupe au premier plan, Penser la création de valeur comme un résultat et non comme stratégie
Les champs de compétences de la RSE : Dérèglement climatique, pollutions, biodiversité, mixité sociale, discrimination, cohésion sociale, gouvernance sociale
Chapitre III : RSE et Développment durable
Les grandes dates du développement durable :
Les sommets de la Terre :
- 1972 : Conférence de Stockholm
- 1978 : rapport Brundtland
- 1992 : Sommet de Rio
- 2002 : Sommet de Johannesburg
- 2012 : Rio + 20
Les conférences des parties :
- Cop 21 : réduire GES, contrôler les efforts des entreprises, Fonds verts pour le climat, Agenda des solutions
II. Les enjeux environnementaux
– l’augmentation des GES
– la surexploitation des ressources naturelles
– le déclin de la biodiversité
– la pollution
Les conséquences pour l’entreprise :
– le coût économique du capital naturel
8 Prise de consciences et politiques de l’Union Européennes
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