Devoir 1 E1

Exercice 1 :

1. L’auteur du texte est Tzvetan Todorov, penseur contemporain naturalisé français mais aussi chercheur au CNRS et théoricien de la littérature spécialisé dans la mémoire depuis les années 80.

1. Le texte est un extrait de l’œuvre « La mémoire, entre histoire et politique » dans les Cahiers français nommé « la vocation de la mémoire ». Il s’agit d’une œuvre littéraire, plus précisément d’un essai sur la mémoire qui est conservé à la Documentation française à Paris.

1. Le texte est daté de 2001 et plus exactement des mois de juillet et août de cette même année.

1. Il y a en effet certaines allusions à l’époque de publication dans le texte avec la mémoire des deux guerres mondiales et du maréchal Pétain et Hitler. De plus il parle de ays démocratique en Europe de l’ouest.

Exercice 2 :  

Irrévocablement : C’est une action faite de manière irrévocable, on ne peut plus revenir dessus et la modifier ou l’éviter.

Reliques : Ce sont des objets qui nous rappellent le passé et auxquels on attache une grande importance. Cela peut être également des restes de personnages sacrés ou d’objet leur ayant appartenus.

Ferveur : La ferveur est un élan d’enthousiasme qui peut être déclenché par une croyance religieuse ou une autre source de motivation.

Compulsive :  C’est une action répétitive qu’on ne peut s’empêcher de réaliser.

Commémoration rituelle : C’est une cérémonie organisée à la mémoire de quelqu’un ou de quelque chose d’important.

Droits imprescriptibles : Ces sont des droits qui ne peuvent être changer par le temps.

Recouvrement : L’action de couvrir quelque chose, cela peut également concerner le paiement des impôts.

Secrète : Une chose secrète est une chose dont seule un nombre réduit de personnes sont au courant.

Exercice 3 :

1. Todorov prend de la distance par rapport au culte de la mémoire avec l’utilisation du « on » générique, en énumérant les différentes pratiques qu’il constate et également en donnant son jugement sur cette attitude adoptée par les européens de cette époque.
2. Todorov ne refuse absolument pas la connaissance du passé, il prône même celle-ci, cependant ce qu’il refuse c’est le jugement porté sur ce passé qui nuit à la fidélité de celui-ci à cause des jugement de valeurs porté sur ceux-ci.
3. D’après Todorov la commémoration rituelle est d’une faible utilité éducative car on se limite à passer une image négative des autres ou à détourner l’attention des gens des réelles urgences actuelles. Il prouve son idée avec le fait que la mémoire de la première guerre mondiale n’a aucunement évité la seconde, il nous dit que la mémoire de la première guerre a rendu le monde méfiant par rapport à Hitler et Pétain mais a fait ignorer les dangers de la seconde guerre.
4. Ces paragraphes sont en liens direct avec le précédent car ils expliquent les différentes raisons et justifications utilisées par les gens et les états afin de justifier le devoir de mémoire. Seulement dans ces paragraphes Todorov nous montre que ce devoir de mémoire est souvent détourné pour faire l’apologie de certaines personnes ou le blâme d’autres selon leur rôle et leurs actions par rapport au point de vue de chacun. Il dit que la mémoire d’un même évènement peut avoir deux interprétations opposées et nourrir des combats politiques selon l’idée de chacun sur cet évènement passé et son interprétation personnelle.
5. Pour que le passé soit bénéfique Todorov préconise que le passé soit connu de tous mais il faut accepter que celui-ci peut être soumis au jugement de chacun et qu’il ne faut surtout pas essayer de l’imposer aux autres.

Exercice 4 :

Tzvetan Todorov, penseur contemporain d’origine bulgare et théoricien de la littérature, travaille principalement sur la question de mémoire. Dans son œuvre « La vocation de la mémoire » il traite les différentes façon d’aborder la mémoire et le devoir de mémoire. Tout au long de cet extrait l’auteur nous explique sa pensée sur le culte de la mémoire et comment selon lui il faudrait aborder ce culte du souvenir.

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