Scandale Viande De Cheval

OBJET D'ETUDE N°3

Le scandale de la viande de cheval

j'ai décidé de parler de ce thème car c'est un sujet qui c'est rependu dans toute le monde entiers et qui concerne notre alimentation de tout les jours. Cette tromperies a touché plus pays y compris les Français.

Problématiques : Quelles sont les conséquences de cette fraude?

Tout d'abord nous commencerons par rappelé les faits de se scandale ensuite nous continuerons par expliquer les conséquence pour le fabricateur ainsi que le distributeur et finirons par la conclusion.

Introduction : Début février, suite à la réalisation d’une « analyse ADN » sur un de ses produits, un industriel a retrouvé de la viande de cheval dans des plats préparés, en lieu et place de la viande de bœuf. C’est

bien la première fois que le secteur agroalimentaire se trouve confronté à une fraude de ce type, qui porte sur la nature de la viande.

Grâce à la traçabilité mise en place par le secteur, la direction de la répression des fraudes (DGCCRF)

a pu remonter en moins de 48h l’ensemble de la filière. La DGCCRF a en effet immédiatement diligenté une enquête pour identifier les responsables de cette tromperie.

 La viande en cause, d'origine roumaine, selon les autorités françaises, aurait transitée par un trader néerlandais, puis un chypriote, avant d'arriver chez un fournisseur français, la SAS Spanghero, et d'être redirigée vers le préparateur, Comigel.

L’enquête de la DGCCRF révèle que les entreprises de l’agroalimentaire,dont Findus, ont été victimes d’une fraude sans précédent. Il y a en effet eu tromperie sur la marchandise.

I. Le rappel des faits de la viande de cheval

Le scandale a éclaté en Grande-Bretagne quand des lasagnes de la société suédoise Findus,étiquetées comme étant à base de bœuf, se sont révélées contenir de la viande de cheval.

 Celles-ci avaient été fabriquées par la filiale luxembourgeoise du sous-traitant français, Comigel, qui distribue ses produits dans 16 pays, y compris à Findus.

Suite à l’affaire de la viande de cheval en Angleterre, Findus a demandé à Comigel de réaliser un audit chez son fournisseur, la SAS Spanghero.

 Comigel s’est alors rapidement rendu compte que celui-ci s’approvisionnait auprès d’un fournisseur roumain qui abat et découpe du bœuf et du cheval.

 Findus lance des tests ADN sur tous ses produits en Europe, contacte les autorités sanitaires (4 février) et obtient le résultat de ses tests le 7 février.

En France, les lasagnes de la marque Findus sont immédiatement retirées des rayons, à l’initiative de l’industriel. Dans les jours qui suivent (le 11 février), la DGCCRF ouvre une enquête afin de mettre en lumière les coupables de cette fraude.

 La société SAS Spanghero est alors soupçonnée d’avoir remplacé sur les emballages les étiquettes indiquant la présence de viande de cheval par des étiquettes mentionnant de la viande de bœuf.

 Accusée de « tromperie économique » par Benoît Hamon, ministre de la Consommation (la viande de cheval ayant été achetée trois fois moins chère que la viande de bœuf),l’agrément sanitaire de la SAS Spanghero est suspendu le 14 février. Il est rétabli partiellement le 18 février, ce qui l’autorise à reprendre la production de viande hachée, la saucisserie et l’élaboration de plats cuisinés. La SAS Spanghero met un terme à son activité de négoce de viande, le 22 février.

 Les entreprises de l’agroalimentaire sont mises hors de cause par l’enquête de la DGCCRF.

De la viande de cheval est ensuite détectée dans deux lots de lasagnes à la bolognaise surgelées Picard, retirés préventivement de la vente le 6 février par l’enseigne.

 Le groupe suspend alors les ventes de produits « au bœuf » fabriqués par la société Comigel, qui achète à Spanghero la viande avant de la revendre, cuisinée et surgelée aux distributeurs.

Le 15 février, l’Union Européenne approuve un plan destiné à lutter contre les fraudes à base de viande de cheval, qui prévoit la mise en place de tests ADN dans tous les Etats Membres de l’UE.

Le 23 février, à l’occasion de l’ouverture du Salon de l’Agriculture, le Président de la République annonce qu'il chercherait à obtenir à l'échelle européenne un "étiquetage obligatoire" de l'origine

de la viande utilisée dans les plats cuisinés pour rassurer les consommateurs après le scandale de la viande de cheval.

Le 25 février, Ikea annonce le retrait de la vente, dans une quinzaine de pays européens dont la France, des boulettes de viande surgelées produites par la société suédoise, Dafgaard.

Le 26 février, la société du groupe espagnol Ebro, détecte de la viande de cheval dans plusieurs boîtes de raviolis commercialisées dans l’hexagone, et fabriquées pour sa marque William Saurin.

 Les produits sont immédiatement retirés de la vente. William Saurin déclare avoir été« victime d’une tromperie de la part d’un de ses fournisseurs ». La Société Gel Alpes reconnaît

en effet être passée par le même trader en viande néerlandais que la SAS Spanghero. Gel Alpes dépose plainte contre X pour tromperie.

II. Les conséquences pour le distributeur et le consommateur

a) Conséquences distributeurs

Viande de cheval,des distributeurs français retirent leurs produits ;

Des enquêtes ont été lancées au Royaume-Uni, en France et en Roumanie après la découverte de viande de cheval dans des lasagnes estampillées « viande de bœuf ». De leur côté, plusieurs distributeurs français ont annoncé dimanche 10 janvier le retrait de produits surgelés qui pourraient contenir de la viande de cheval au lieu de bœuf.

Le scandale lié a la découverte de cheval dans les plats censés contenir du bœuf est bien un coup pour toute les entreprises du secteur. Un quart des Français boude les plats a la viande de bœuf.Et plus d'un Français sur cinq (22%) qui consommait des plats cuisinés ont décidé de bannir ces produits

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