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L'homme Et/ou La Machine

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Par   •  1 Décembre 2012  •  1 767 Mots (8 Pages)  •  1 754 Vues

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Introduction

A notre époque, la machine a une place très importante dans notre vie mais heureusement n’a toujours pas réussit à remplacer l’homme.

Les machines, c’est à dire, pour reprendre la définition du dictionnaire, des "ensembles de dispositifs destinés à recevoir une certaine forme d’énergie et à la transformer pour produire un effet donné", ont été le plus souvent conçues dans un contexte de production industrielle mais également dans l’aspect personnel car on les utilise tous les jours.

Problématique : L’homme peut il se passer des machines ?

Plan :

• Introduction

• I. La machine au service de l’homme

A- Au travail

B- Dans la vie de tous les jours

• II. La machine est elle néfaste pour l’homme ?

A- La machine est néfaste pour l’homme

1°- Dans le monde du travail

2°- Dans la vie de tous les jours

B- La machine n’est pas néfaste pour l’homme

1°- Dans le monde du travail

2°- Dans la vie de tous les jours

• Conclusion

Historique

Jusqu'au début des années 1900 :

C'est la période du taylorisme qui se définit par le travail à la chaîne, l'activité manuelle qui dominent. La distribution du travail se fait par une transmission d'ordres et la définition stricte des tâches permet au premier de pouvoir mieux contrôler les seconds. L'homme est " un muscle " obéissant.

Le taylorisme est une méthode de travail dans l'industrie mise au point par l’ingénieur Frederick Winslow Taylor. Elle consiste en une organisation rationnelle du travail qui est divisé en tâches élémentaires, simples et répétitives, confiées à des travailleurs spécialisés.

L'objectif du taylorisme est d'obtenir la meilleure productivité possible des agents au travail et une moindre fatigue. Le taylorisme est l'une des composantes du travail à la chaîne qui a été mis en place dans l'industrie automobile par Henry Ford

Les conséquences de la révolution industrielle de 1850 :

Elle exige de produire davantage pour vendre. On se dirige vers la standardisation des biens de production car il s'agit de produire en masse. La répétition continue d'un même geste entraîne la déqualification du travail. La compétence attendue est de savoir reproduire un geste. Le travail intellectuel de pensée est réalisé au niveau le plus haut de la hiérarchie. A cette époque, on fait appel à une main d'œuvre rurale, peu qualifiée et à une population d'immigrés.

Crise économique de 1929 :

Le mouvement des relations humaines est né dans le cadre de la crise économique de 1929. L'enjeu consistera désormais à favoriser le facteur humain. Les individus seront regroupés entre eux et le groupe deviendra une valeur. En prenant en compte que l'homme a un cœur et éprouve des sentiments, la préoccupation portera davantage sur la personnalité des salariés et des relations entre eux à l'intérieur des situations de travail car on estimera qu'elles ont un impact sur le rendement. Les décisions seront, pour une partie, décentralisées et la coordination des hommes reposera davantage sur la confiance que sur l'autorité. Le chef deviendra un guide qui anime, informe et oriente son équipe.

A partir de 1970 :

Les chercheurs en sociologie cherchent à optimiser à la fois l'aspect technique et social du travail. L'homme sera complément à la machine. On verra progressivement se développer des groupes de travail, des équipes semi autonomes de travail, des groupes projets puis des îlots de production avec la responsabilité d'un produit, de sa production jusqu'à son expédition. Les progrès technologiques impliquent davantage un travail sur écran et le regroupement des tâches dans un système de collaboration qui engage les salariés, construira une démarche participative et entraînera une requalification du travail. Dans cet environnement, l’exclusion atteint les personnes qui ne possèdent pas la maîtrise des savoirs de base.

A l’avenir :

Pour rester compétitif, il devient essentiel d'innover et dans ce cas, il faut se surpasser avec une mobilisation accrue de l'intelligence et la mise en œuvre de nouveaux savoirs.

I. La machine au service de l’homme

A- Au travail

Depuis des siècles, l’homme a mis en œuvre des techniques de plus en plus sophistiquées ayant pour but principal la diminution ou l’élimination de l’effort physique en tant que source d’énergie dans le processus de production. Cette transformation de la manière de produire s’est faite en plusieurs phases :

 L’outil simple :

L’utilisation d’outils simples permet à l’homme de soulager sa force physique. Effectivement il est plus facile d’enfoncer un clou avec un marteau, qu’avec une pierre ou avec ses poings. Ce stade s’appelle « l’âge de la matière » car le but principal de l’activité humaine se situe autour de la production d’objets matériels.

 L’appareillage :

Des appareillages plus complexes ont permis à l’homme de s’affranchir de plus en plus complètement de l’effort physique par l’utilisation et le contrôle d’énergies naturelles puis artificielles. Cela a commencé avec les bateaux à voiles ou le moulin à vent, pour atteindre un plein développement avec la machine à vapeur, clef de la révolution industrielle. C’était l’âge de l’énergie, où tout était de plus en plus axé sur la recherche de cette nouvelle matière première intangible.

Dans tous les cas, la surveillance et le contrôle

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