Economie de la connaissance
Dissertation : Economie de la connaissance. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar TYMe • 22 Décembre 2017 • Dissertation • 1 404 Mots (6 Pages) • 1 473 Vues
Economie de la connaissance
Sommaire
Introduction 2
Problématique 2
Questions 2
Partie 1 : identification de l’économie de la connaissance 3
Sous partie 1 : source, et mode d’accroissement de l’économie de la connaissance 3
Sous partie 2 : mode d’échange de l’économie de la connaissance 3
Partie 2 : importance et avantages en lien avec le développement d’un pays 3
Sous partie 1 : avantages de l’économie de la connaissance 3
Sous partie 2 : importance de l’économie de la connaissance 3
Corps de la dissertation 3
Conclusion 5
Dissertation
Introduction
L’économie de la connaissance dite révolution du 21ème siècle, a su prouver la véracité de cette dénomination aussi bien à l’échelle internationale qu’au Maroc. Cette économie se définit par le partage de la connaissance qui s’oppose à l’échange de biens matériels. Mis à part le terme « échange », ces deux économies sont loin d’être similaires. Prolifique et collégiale, l’économie de la connaissance possède une monnaie assez spéciale, car le pouvoir d’achat est l’attention multipliée par le temps et paradoxalement cette monnaie si elle n’est pas utilisée ne peut absolument pas être épargné. Et ce pouvoir d’achat ne dépend que de la bonne volonté, de l’envie, de l’ambition et surtout de l’amour et de l’addiction de chaque individu. Face à l’économie de la connaissance nous sommes donc tous presque égaux étant donné son accessibilité.
Problématique
Il est donc intéressant de mettre la lumière sur l’importance de ce type d’économie et ce qu’elle représente pour le développement d’un pays et plus spécifiquement du développement du Maroc, ainsi que sur ses répercussions et son mode d’échange.
Questions
Ceci implique de savoir le niveau d’importance de l’économie de la connaissance, d’identifier son lien avec le développement, de connaitre ses avantages, sa source, ses répercussions, son mode d’échange et d’accroissement.
Partie 1 : identification de l’économie de la connaissance
Dans un premier temps, nous allons essayer de définir notre entité. Pour cela, nous allons déterminer sa source et son mode d’accroissement, avant de s’intéresser à son mode d’échange.
Sous partie 1 : source, et mode d’accroissement de l’économie de la connaissance
Sous partie 2 : mode d’échange de l’économie de la connaissance
Puis nous essayerons de mieux cerner ses avantages d’une part et son importance et sa quasi-nécessité dans la conjecture actuelle pour le développement d’autre part.
Partie 2 : importance et avantages en lien avec le développement d’un pays
Sous partie 1 : avantages de l’économie de la connaissance
Sous partie 2 : importance de l’économie de la connaissance
Corps de la dissertation
L’économie de la connaissance n’a vu le jour que vers la fin du 20eme siècle et n’a été prise au sérieux qu’en début du 21eme. Il est important de comprendre qu’aujourd’hui c’est la seule économie qui puisse sa source dans un bien immatérielle : la connaissance. Elle possède donc des ressources infinies incapables d’être surpasser par tous ce qui est bien matériel. Nous pouvons la donner dans le but de l’accroitre et paradoxalement plus elle est partagée plus elle se multiplie et ce exponentiellement. A son début, elle doublait de volume chaque 50 ans pour passer à aujourd’hui à 7ans. Ce qui voudrait dire que la quantité que l’homme produit de la connaissance en 7ans et un jour est équivalente à ce qu’il a produit depuis sa création. Cela reste très impressionnant dit cette manière, néanmoins il reste difficile de faire accepter à la société toute évolution de cette connaissance. Toute nouvelle découverte passe donc dans tous les cas par trois phases. A savoir le ridicule, le dangereux et puis l’évident. Steve Jobs et Bill Gates eux-mêmes ont connu ce passage presque obligatoire avant leur gloire. Nous pouvons donc facilement conclure que cette connaissance tire sa puissance de tout notre environnement et de la nature même et n’arrête pas de s’accroitre avec une convergence à plus l’infini.
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