Corpus BTS BLANC
Cours : Corpus BTS BLANC. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar afyonlu94500 • 11 Avril 2021 • Cours • 454 Mots (2 Pages) • 675 Vues
CORPUS :
L’immobilisme ne s'agit pas du mouvement au sens propre, il représente le refus du mouvement, du progrès. Il est souvent confondu avec l’immobilité qui décrit une situation physique de quelqu’un qui ne bouge pas. Les deux représentent une immobilité associée à la lenteur. Ici nous étudierons un corpus composé de quatres documents et d’un film. Les documents 1,3 et 4 sont tous parus avant 1980, tandis que le film et le document 2, l’éloge de l’immobilité sont contemporains. Le document 1 est une pièce de théâtre de Samuel Beckett, Oh les beaux jours,1963. Dans ce texte nous sommes face à l'immobilité du personnage Winnie. De plus, dans le document 2, le professeur de philosophie Jérôme Lèbre dans son livre Éloge de l’immobilité, 2018. J.Lèbre critique la vitesse et met en avant la lenteur. Ces deux textes abordent l’immobilité alors que le
CORPUS :
L’immobilisme ne s'agit pas du mouvement au sens propre, il représente le refus du mouvement, du progrès. Il est souvent confondu avec l’immobilité qui décrit une situation physique de quelqu’un qui ne bouge pas. Les deux représentent une immobilité associée à la lenteur. Ici nous étudierons un corpus composé de quatres documents et d’un film. Les documents 1,3 et 4 sont tous parus avant 1980, tandis que le film et le document 2, l’éloge de l’immobilité sont contemporains. Le document 1 est une pièce de théâtre de Samuel Beckett, Oh les beaux jours,1963. Dans ce texte nous sommes face à l'immobilité du personnage Winnie. De plus, dans le document 2, le professeur de philosophie Jérôme Lèbre dans son livre “Éloge de l’immobilité”, 2018. J.Lèbre critique la vitesse et met en avant la lenteur. Ces deux textes abordent l’immobilité. Le document 3 de ce corpus est un extrait du roman de Julien GRACQ “ La presqu’île” publier en 1970, dans ce document, le personnage principal au volant de sa voiture contemple la campagne autour de lui et prend le temps de ressentir, tout ce qui se passe autour de lui, il voudrait que cette heure ne se termine jamais et rester dans ce paysage idyllique. Enfin dans le dernier document, le récit de Jean Giono : “L’homme qui plantait des arbres” publié en 1953. Dans cet extrait
ECRITURE PERSONNELLE :
FAUT-IL CRAINDRE L’IMMOBILISME ?
Ici, il s’agit de l’immobilisme.
Alors faut-il craindre l’immobilisme ?
Nous verrons dans un premier temps en quoi il faut craindre l’immobilisme puis nous analyserons en quoi il ne faut pas craindre l’immobilisme enfin nous observerons s' il y a un juste milieu.
L’immobilisme est signe de stagnation, ce qui pourrait nuire au progrès et donc le ralentir. Et si chacun venait à pratiquer l’immobilisme il n’y aurait plus aucun avancement. L’immobilisme est synonyme de lenteur.
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