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Devoir management 1

Étude de cas : Devoir management 1. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  10 Avril 2018  •  Étude de cas  •  11 914 Mots (48 Pages)  •  628 Vues

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Devoir N°1 Management

Question 1

Précisez, en justifiant votre réponse, si la Soulterie relève d’une logique entrepreneuriale ou managériale. Si nécessaire, vous expliciterez vos propos en vous référant à l’approche de J. Schumpeter. – sur 3 points

C’est la nature du travail que d’être contrainte de faire ou ne pas faire et c’est aussi la contrainte qui peut la définir. Il est alors proposé d’analyser sous l’angle de Michael Porter, la situation de la Soulterie sous trois angles principaux. Le premier s’intéressera aux logiques de décideurs d’un point de vue Schumpetérien en termes d’entrepreneuriat ou management, sachant que leurs forces et faiblesses déterminent leurs capacités à entreprendre au travers des buts stratégiques et tactiques. Ces propositions sont simplement des hypothèses que des dirigeants pourraient faire à leur propre sujet, et aussi ce que la concurrence pourrait faire à propos des secteurs dont ils pourraient dépendre, ainsi que d’autres firmes qui s’y présentent, Puis le second axe sur un plan interne et externe, permettra de définir ce que peut vouloir dire forces en tant que performance et faiblesses en tant que difficultés. Le troisième point de vue concernera des propositions de résolutions au travers d’un pilotage d’entreprise et de gestion des ressources humaines.

1ere partie : Diagnostic interne

Sous l’angle Schumpetérien, l’ensemble du personnel formant la Soulterie répond-t-il vraiment aux logiques entrepreneuriales de leurs dirigeants où discerne-t-on plutôt une logique managériale ?

Trois registres de définitions au sens Schumpetérien sont proposés :

La logique entrepreneuriale est fondée sur la volonté de prendre des risques ainsi que sur la créativité de l’entrepreneur à gérer son entreprise dont il est porteur de projet. La notion d’entrepreneuriat repose sur l’estime de soi. La volonté d’entreprendre, le sens est à lire dans le sens de Porter, en termes d’engagement. La poursuite du but est sans équivoque, prêt à riposter. L’engagement, par la volonté possédée peut dissuader les concurrents d’entreprendre des actions de représailles. La créativité peut être lu dans le sens : créateur d’entreprise et pas forcément innovation. Le créateur d’une entreprise n’est pas forcement innovant. L’entrepreneur aime naturellement entreprendre, décider, contrôler, coordonner. Egalement, on peut peut-être souligner la volonté d’autonomie, par la volonté d’être maitre de l’endroit où l’on vit, agit.  A cela, se rajouterait la volonté d’indépendance, rejoignant cette autonomie, du côté financier, par exemple. Cette personnalité possède naturellement le don d’obtenir l’adhésion de ses équipes. Entreprendre en créant, nécessite un savoir-transmettre continu de logiques personnelles, elle revêt avant tout une dimension dynamique en termes de communication. On pourrait être tenté, de dire qu’il pourrait s’agir de personnes sachant metacommuniquer. Sur la proposition de définition de métacommunication comme un savoir-communiquer dans le sens voulu avec le comment dedans. Il obligerait alors à la plus grande dimension spatio-temporelle, rejoignant ce qui s’appelle le Total Quality Management. L’idée propre de l’entrepreneur, qui peut être appelée vision stratégique par exemple, est alors transmise à l’ensemble du personnel formant l’entreprise.

De cette approche, que dire sur le manager ?[pic 1]

La logique managériale quant à elle est axée sur l’optimisation des ressources confiées au manager. Il gère et assure la pérennité de l’entreprise tout en optimisant les ressources financières et humaines afin de mettre en œuvre de façon opérationnelle des stratégies définies. La question déterminante du management relève de visibilité et lisibilités tant externes qu’internes. Le management subit de nombreuses tensions et incertitudes, aussi créé par la gestion même de ses dirigeants !

     Actionnaires

Dirigeants/investisseurs

                                                [pic 2][pic 3]

                                                  [pic 4]

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                                                          Salariés[pic 6]

On notera que les investisseurs sont friands de bonnes informations afin de connaitre les suffisances des moyens nécessaires et l’actions des actions planifiées. Aussi, le management est multiforme, il peut avoir une vocation économique, politique, technique et aussi sociale au travers de la GRH : Gestion des Ressources Humaines

La vision de Schumpeter vise les qualités du dirigeant sur ses qualités propres hors pairs, d’un point de vue héréditaire, biologique, en termes, d’entrepreneur et en innovation. Tous les entrepreneurs ne sont pas dotés du talent d’innover.

De la théorie à la pratique, Il convient alors de s’interroger sur la nature des deux dirigeants de la Soulterie que sont Alain et Conception. Sont-ils entrepreneurs, Schumpetériens ou managers ? Leurs employés répondent-ils totalement à leurs logiques ? Aussi, quelle est la logique de la Soulterie ? 

Déterminants des capacités des dirigeants stratégiquement :

Quelles forces d’entrepreneurs au sens Schumpeter, Alain et Conception possèdent ?

Alain et Conception se sont associés dans un but commun de gains, « gagner en autonomie dans leur vie professionnelle ». Si cette association s’est caractérisée sur le besoin d’un accomplissement personnel, ne doit-on pas déceler l’âme d’entrepreneur, tous deux cherchent des responsabilités à la hauteur de leur volonté de faire, et sont freinés par leurs manques de qualifications. « L’un comme l’autre désirait gagner en autonomie dans leur vie professionnelle : ayant arrêté leur scolarité après un baccalauréat d’électricité pour Alain et de secrétariat pour Conception, ils ne pouvaient réellement espérer de postes avec un fort degré d’indépendance et de responsabilité, en tout cas dans les entreprises où ils travaillaient ». Ils sont volontaires, avec un désir d’autonomie et d’indépendance. Si ces faits peuvent confirmer des logiques définissant l’entrepreneurship,

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