Devoir 2 de management

Devoir numéro 2 Economie Droit

Partie 1 : Economie

Introduction :

Le continent africain vit en ce moment, un véritable essor économique, en effet la croissance économique de l’Afrique ne cesse de grimper avec en moyenne une croissance de presque 6% par an. Apres avoir explicité les facteurs qui font que l’économie de l’Afrique croît, et pourquoi un grand nombre d’investisseurs viennent s’implanter dans ce continent et quelles en seront les conséquences attendues par rapport au réelles retombées sur la croissance africaine. Pour finir, nous allons analyser pourquoi l’Afrique reste en retard dans le développement humain, et quels en sont les freins.

Les facteurs de la croissance africaine

l’Afrique est en pleine progression, plusieurs facteurs la rendent possible, premièrement, et le plus important, le facteur humain. L’Afrique a une croissance démographique spectaculairement rapide, les autres facteurs de la croissance économique de ce continent sont : la hausse de l’investissement et de l’épargne. Il y a une forte accélération des exportations, de l’amélioration du cadre juridique et réglementaire et une demande des consommateurs d’une classe moyenne nouvelle.

De maniere économique, l’Afrique envisage de faire de gros efforts structurels surtout en ce qui concerne l’investissement du capital humain, en améliorant donc la qualification. Pour la définition du capital humain, nous pouvons nous en référer a Jacques Genereux, selon lui, l’ensemble des aptitudes, talents, qualifications, expériences accumulées par un individu et qui déterminent en partie la capacité a travailler. l’Afrique souhaite également l’instauration d’un cadre réglementaire d’un environnement économique totalement transparent, des investissements matériels ainsi qu’immatériels intelligents et pertinents et enfin des infrastructures en matière de transport.

II) a) Pourquoi les investisseurs choisissent l’Afrique ?

Le terrain africain est un terrain attractif pour les investisseurs en terme de stratégie, l’IDE (investissement direct a l’étranger) est une activité par laquelle un investisseur résident dans un pays afin d’obtenir un intérêt durable et une influence vraiment significative dans la gestion dans la gestion d’une entreprise résidant dans un autre pays. Si la part de l’investisseur est supérieure a 10%, on peut considérer qu’il s’agit d’un IDE.

l’Afrique est également source de matériaux précieux tels que le minerais, le bois et les hydrocarbures, cela pousse les investisseurs étrangers a s’impliquer. Ensuite, l’Afrique connait une forte croissance de la demande, qui attire les investisseurs étrangers vers de nouveaux marches et pleine expansion. Il y a également une amélioration du pouvoir d’achat grâce a la croissance économique, ce qui leur permet de consommer plus. Par exemple, avant les années 2000, le pays africain n’avait pas vraiment accès aux technologies cellulaires, et peu d’africains avaient un portable. Les opérateurs étrangers cherchent toujours de nouveau marches a conquérir, cela peut être une opportunité de s’implanter en Afrique.

b) Incidence attendue et effective des IDE

Ces investissements directs á l’étranger devraient engendrer des gains fiscaux et qui faciliteraient la réalisation d’infrastructures dans le domaine des transports par exemple. Mais les IDE devraient également avoir une influence positive des pays concernés grâce entre autres a la transmission de technologies ainsi qu’a la formation professionnelle de cadres locaux. De plus, ces investissements peuvent créer de l’emploi, par exemple. La Chine delocalise en Afrique car le cout de la main d’oeuvre chinoise augmente constamment.

Afin que les retombées des IDE soient réellement visibles sur la croissance économique africaine, ce qui est loin d’être le cas, il faudrait que la population africaine soit réellement sollicitée de façon durable et que des produits soient transformés sur place. D’autre part, il faut qu’il y ait une réelle diversification des investissements a l’image de ce qui a été fait dans le secteur manufacturier et dans celui des télécommunications. L’Afrique est ralentit par un manque de main d’oeuvre qualifié et en bonne santé. Si ces problèmes seraient régler, de nouveaux investissements pourraient être faits, en utilisant beaucoup de mains d’oeuvre.

III) Le retard de l’Afrique sur le développement humain, malgré une croissance économique

Malgré une croissance en progression, l’Afrique conserve un retard dans le développement humain. Afin d’évaluer le développement humain, deux économistes, Mahbudul HAQ et Amaryta SEN ont conçu un indice statistique, l’IDH en se basant sur trois indices calculant chacun :

Le niveau d’éducation en partant du taux d’alphabétisation des adultes et du taux brut de scolarisation.

La santé/longévité en partant de l’espérance de vie a la naissance

Niveau de vie a partir du PIB (Produit intérieur brut , qui permet de mesurer la production économique intérieure réalisée par un pays).

L’IDH est compris entre 0 (non développé) et 1 (meilleur niveau de développement ). L’IDH des pays africains dopasse très légèrement les 0,4. Les pays du Maghreb s’en sortent avec un taux de 0.6. Le retard de l’Afrique concerne la mauvaise santé qui augmente les absences de travailleurs. Par un niveau d’éducation faible que l’on peut expliquer entre autres par le travail des enfants qui

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