Cas d'entreprise Sécuriplus
Mémoire : Cas d'entreprise Sécuriplus. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar sonsofarnarchy • 24 Novembre 2014 • 2 403 Mots (10 Pages) • 1 176 Vues
Question 1 : En quoi l’entreprise Sécuriplus correspond aux principes de la division du travail et de l’organisation scientifique du travail ? Illustrez votre réponse à l’aide d’extraits tirés du cas et démontrez clairement la correspondance de ces extraits avec les principes de division du travail et d’organisation scientifique du travail. (5 points)
La compagnie d’assurance Sécuriplus est une compagnie de type verticale, tel qu’on peut le constater dans les nombreux schémas de l’entreprise (page 3 du cas). Elle est divisée en trois secteurs distincts soit ; la division vie, la division industrielle et la division médicale. Cependant, pour constater que l’entreprise correspond aux principes d’organisations scientifiques du travail, nous devons nous concentrer sur le département des réclamations.
Tout d’abord, on peut constater que l’entreprise travail comme une chaine de montage. Par exemple, on mentionne que le service courrier ouvre et tri le courrier pour ensuite le distribuer aux différents départements de l’entreprise. Ensuite, les employés du service des réclamations médicales tri le courrier en fonction du type de réclamation simple, complexe ou incomplètes. Les réclamations sont par la suite traitées et analysés par les commis du service affectés aux types de réclamation dans un délai trois à neuf jours selon la complexité de la réclamation. Ensuite les réclamations sont envoyées au service des chèques et finalement, les réclamations sont ensuite retournées aux clients par le service courrier de l’entreprise. Tout ce système a été clairement établit par les dirigeants de l’entreprise et ils ont même établit des heures et des temps d’exécution pour toutes les tâches. Bref dans le but d’augmenter l’efficacité et la productivité de l’entreprise, ils ont divisé les tâches entre différents service de l’entreprise. Ce qui signifie que l’employé du service courriel est affecté seulement à cette tâche et n’effectue aucune autre tâche.
Deuxièmement, on constate lors de l’analyse interne que le temps de traitements des réclamations simples est de trois jours alors que le temps de traitement actif est seulement de trois minutes. En ce qui concerne les réclamations complexes le temps de traitement est de près neuf jours alors que le temps actifs de traitements est de sept minutes. De plus, on mentionne que chaque employé traite environ 125 réclamations par jour tandis que cher les concurrents chaque employé traite 155 réclamations ou plus. La tâche qui alourdit fortement la chaine est le classement que chaque type d’employé doit effectuer avant de faire sa tâche principale. Ce qui représente plus de 97 % du temps des employés de l’entreprise.
En réalisant une analyse interne, l’entreprise s’est rendu compte que le classement représentait la principale activité improductive des employés
Finalement les principes de Taylor en matière de l’organisation scientifique de travail sont simples ; « le travail mérite d’être soumis à une analyse et à une décomposition systématique, la division du travail entre la direction et les ouvriers est claire, la sélection et la rémunération des ouvriers méritent d’être faites d’une manière scientifique, l’ouvrir est d’abord un agent économique qui répond aux stimuli et aux choix de la direction » (Michel G. Bédard, 2010). On peut constater que le seul principe qui n’est pas appliqué dans cette entreprise est la rémunération en fonction de la productivité. L’entreprise a effectué plusieurs analyses internes et externes pour trouver les tâches où les employés étaient improductifs ou généraient des erreurs. L’entreprise leur a fourni de la formation, mais les employés ne semblent toujours pas comprendre le système et on constate qu’il y a un manque de communication entre les cadres et les employés. La division du travail entre Madame Blanchette et ses employés est bien définie. C’est elle qui prend les décisions et qui administre le département tandis que les employés du département ont seulement à exécuter les tâches pour lesquelles ils ont été engagés. Cependant, on peut tout de même constater la dimension verticale du travail entre les employés ainsi que les services de réclamation médical de l’entreprise qui sont tous dépendant les uns des autres afin que les réclamations soient traitées. On peut aussi constater que le personnel de l’entreprise possède seulement une valeur monétaire aux yeux de Madame Blanchette. Ce qui est toujours fidèle aux principes de Taylor. Bref, nous pouvons constater que la compagnie Sécuriplus c’est vraiment inspirer du principe du Taylorisme.
Question 2 : En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond ou ne correspond pas aux principes administratifs tels que définis par Henri Fayol ? Illustrez votre réponse à l’aide d’extraits tirés du cas et démontrez clairement la correspondance de ces extraits avec les principes administratifs d’Henri Fayol. (5 points)
La compagnie Sécuriplus ne correspond pas aux principes administratifs d’Henri Fayol. La direction de l’entreprise est d’avantage centré sur le modèle Taylorisme, car c’est une entreprise qui est divisé verticalement et c’est pour qui les employés n’ont qu’une valeur monétaire. Les principes d’Henri Fayol sont les suivants : « la division du travail, l’autorité et la responsabilité, la discipline, l’unité de commandement, l’unité de direction, la subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général, la rémunération, le degré de centralisation, la hiérarchie, l’ordre, l’équité, la stabilité du personnel, l’initiative et l’union du personnel » (Michel G. Bédard, 2010, pp. 40-43).Vous pourrez constater dans les lignes qui suivent que Sécuriplus ne réponds pas à tous les principes de Fayol et je vous expliquerai en détail à l’aide d’exemple tiré du cas ainsi que mon point de vue.
Dans un premier temps, nous traiterons de la division du travail. Pour Henry Fayol, il est important que tous les employés soient formés et possèdent de l’expérience dans les tâches qu’ils effectuent au quotidien. En ce qui concerne l’entreprise Sécuriplus, ils ont investi des milliers de dollars en formation sur leur nouveau logiciel et dans des formations de saisie et traitement de donnée. Cependant, on peut constater que certains employés comme Madame Briens (3 ans d’expérience) ne comprennent toujours pas le système et auraient besoin de formation additionnelle pour effectuer un travail de qualité. Ensuite, il est question du principe d’autorité et la responsabilité. Selon la pensée d’Henry Fayol, « c’est un principe qui correspond au droit de donner des ordres et le pouvoir
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