MANAGEMENT CAS OCENE

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BTS COM 2 

PARTIEL SEMESTRE 2 – MANAGEMENT I – ANALYSE DU CONTEXTE 

Créer plus d’indicateur, taux de traitement des pertes, taux de performances  

1. Igor Ansoff a proposé un classement des décisions en trois catégories ; stratégique, tactique et opérationnelle. De plus, ce processus complexe repose selon Herbet Simon sur quatre phases : l’intelligence, la modélisation, le choix et le contrôle. Dans notre cas, le dirigeant d’OCENE, a pris la décision de se doter d’un nouveau système informatique, dans le but d’optimiser les délais et la qualité du service proposé à ses clients. C’est ici une décision stratégique qui a été prise. En effet elle a été décidée par la direction générale de l’entreprise, pour des effets sur le long terme, et relate de l’organisation générale de l’entreprise. Le tout ici étant d’améliorer la relation avec les parties prenantes. De ce fait nous pouvons conclure que cette entreprise a orienté ses choix sur une décision stratégique.

1. Afin de prendre la meilleure décision, le décideur (ici la direction générale) s’appuie sur les informations et les connaissances dont il dispose en fonction des objectifs poursuivis par l’entreprise. En faisant le choix d’intégrer ce système et donc de gérer l’ensemble des processus, l’entreprise tend vers une orientation de stratégie de la réduction des coûts tout en gardant une efficacité quant à sa productivité, augmentant ainsi les rendements et apportant une meilleure prestation aux clients, et une satisfaction plus importante de leur part. Cela se constate par le fait qu’en 10 ans la panier moyen de leur client a augmenté de 2500 euros. L’entreprise souhaitant atteindre un chiffre d’affaire de 15 millions d’euros en 2020, le processus décisionnel s’avère être ici cohérent.  

3)  

1. La croissance est l’accroissement de la taille d’une entreprise. La croissance d’une entreprise peut être organique, externe ou conjointe. Cette augmentation quantitative de la taille s’accompagne, le plus souvent, d’une évolution des caractéristiques de l’entreprise.  

Dans notre cas, l’entreprise cherche à développer ses capacités et ses compétences en interne grâce à l’acquisition d’une nouvelle solution technologique (PGI), mais également par le passé de ses brevets ou encore ses savoir-faire. Permettant ainsi d’augmenter les parts de marché de part une meilleure productivité, et de montrer la pérennité de l’entreprise au sein de son marché. On parle ici de croissance interne. De plus, elle joue également sur le fait de racheter de nombreuse entreprise telle que, SANITEC, IDEO-CONCEPT… Elle fait le choix de développer ses compétences en s’associant à d’autres entreprise. Permettant un développement plus rapide de l’entreprise, réduisant ainsi le nombre de concurrent et de s’implanter au mieux et rapidement sur le marché. On parle ici de croissance externe.  

Enfin, elle a également fait le choix d’investir directement à l’étranger en créant une filiale en 2015 au Maroc, à Casablanca. Mais aussi en vendant directement ses produits à l’étranger (exportation) comme en Pologne, Roumanie, Turquie, Koweït ou Sénégal. Cela permet d’accéder à de nouveaux marchés, profiter des conditions avantageuses du pays (règlementation, fiscalité…). On parle ici d’internationalisation.  

II – IDENTIFICATION DES PROBLÈMES DE MANAGEMENT ET PROPOSITION DE 

SOLUTIONS 

1. L’entreprise dispose de certains indicateurs permettant de mesurer l’efficacité de l’entreprise, mais celle-ci pourrait en apporter des plus efficace.  

En effet, il y a les chiffres d’affaires par secteur (activité élevage, industrielle, compostage) depuis 2013, par exemple avec un objectif défini sur le long terme (15 millions d’euros en 2020). Cependant il serait d’autant plus judicieux de créer de nouveaux indicateurs de performances comme le retour sur investissement, afin de mesurer la rentabilité. Il serait aussi bien de mettre en place des mesures de RSE (responsabilités sociales des entreprises), ou des indicateurs de conformité de l’entreprise aux normes sociales et environnementales. Ou encore des taux de traitements des pertes, de performance.  

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