Les actes inconscients

L’opinion commune pense, avec évidence, lorsqu’on a fait un acte incorrecte, on ne peut pas dire ‘’j’ai agi inconsciemment’’ puisque la plupart des individus disent ‘’je n’ai pas fait exprès’’ lors d’un acte inconscient. Pour l’opinion commune s’excuser n’est pas possible étant donné que ce n’est pas de leur faute. Donc, pour eux, c’est inutile de s’excuser, car ce n’est pas eux qui ont agi, mais leur subconscient (=qui n’est pas saisi par la conscience, parce que l’orientation actuelle de celle-ci l’exclut, mais qui est apte à devenir conscient aussitôt que l’attention s’y portera, ou de moins après un moment d’effort pour le saisir (selon CNTRL) ). Mais, l’inconscience étant un état dans lequel la conscience de l’individu est inactif, mais aussi une absence de la conscience morale, où l’on ne parvient plus à distinguer bonnes et mauvaises actions (confère livre). Peut-on s’excuser en disant ‘’j’ai agi inconsciemment » ? Est-ce que l’on peut s’excuser lors d’une action où notre conscience était inactive où était aux plus bas ? Nous verrons donc dans une première partie que OUI, je peux m’excuser en disant ‘’j’ai agi inconsciemment’’ puisque je ne suis pas responsable de ce que j’ai fait. Puis, dans une seconde partie, on verra NON, je ne peux pas m’excuser en disant ‘’ j’ai agi inconsciemment’’ puisque je suis attentif de mon inconscient. Pour finir, nous aborderons que certes je peux m’excuser en disant ‘’j’ai agi inconsciemment’’ cependant, malgré tous posons-nous la question si l’homme est responsable oui ou non de son inconscient..

Certes, l’individu peut s’excuser en disant ‘’ j’ai agi inconsciemment’’ puisque l’Homme n’est pas responsable des actes que l’être humain exécute. En effet, lorsque l’Homme perçoit plusieurs perceptions conscientes celle-ci entraînent de nombreuses et même de plusieurs perceptions inconscientes. Selon Leibniz (1646-1716), dans son apologie appelée : les Nouveaux Essaies ; lorsque l’individu effectue une action consciente celle-ci va amener à plusieurs actions inconscientes. Celui-ci est un philosophe allemand où ses contemporains étaient Spinoza, Newton, Locke et bien d’autres. Pour lui, il y a une différence entre l’aperception et la perception. La perception c’est l’acte de prendre connaissance par l’intuition, par l’intelligence ou l’entendement (selon CNTRL). Tandis que l’aperception c’est la prise de conscience claire d’une perception, d’une connaissance (suivant le CNTRL). Ici, il en conclus que l’inconscience est et sera inatteignable puisque conformément à Leibniz l’inconscience c’est-à-dire le psychisme (comme on le verra dans la sous-partie suivantes parlant du système freudien), l’Homme ne peut pas atteindre un contrôle de l’inconscience. Par exemple, comme nous l’illustre Leibniz dans son texte qui figure dans Nouveaux Essais sur l’entendement humain paru en 1703, à la mer, on entend le bruit des vagues mais on entend pas le bruit de chaque vagues. Donc nous pouvons dire qu’une perception conscientes entraînent plusieurs perceptions inconscientes. Sigmund Freud s’inspirera un peu de le concept inconscient du philosophe allemand. De plus, nous pouvons dire cette phrase puisque l’Homme ne peut pas atteindre son inconscient. Et comme nous le dit Sigmund Freud (1856-1939) : l’homme n’est pas responsable de son subconscient. Ayant étudiée l’inconscient avec son premier topique et son deuxième topique. Selon lui, le conscient, le subconscient et l’inconscience ne se caractérise pas du tout de la même façon, ce qu’explique Freud dans son premier topique. Puis dans son deuxième topique, Freud sépare l’inconscient c’est-à-dire le psychisme humain (=Ensemble, conscient ou inconscient, considéré dans sa totalité ou partiellement, des phénomènes, des processus relevant de l'esprit, de l'intelligence et de l'affectivité et constituant la vie psychique.) en plusieurs parties et plus particulièrement en trois parties. Les trois parties sont les suivantes : « Le Moi » ; « Le Surmoi » et « Le Ça ». Ici, celui-ci caractérise une partie du « Moi » comme une partie de la conscience. Et le « Surmoi » et le « Ça » correspond à la partie de l’Inconscience. Le « Moi » équivaut aux pensées acceptable. Le « Surmoi » est représenté comme un censure. On peut illustrer cette censure comme les interdits que nous ont effectués nos parents dès notre enfance. Cependant, cette censure l’Homme est toujours tentées de ne pas la respecter et d’affronter cette censure (on peut caractériser cet acte comme un acte inconscient). Par exemple ; lorsqu’un père dit à son enfant de ne pas toucher à ceci , l’enfant va être tentée à le toucher car, il va avoir envie d’abolir cette censure que lui a affecté son père. Et le « Ça » correspond aux pulsions amorales, violentes, sexuelles, etc. Ainsi, nous pouvons dire que l’Homme possède plus d’actes inconscients que d’actes conscient car, selon Freud, l’inconscience est plus grande que la conscience puisque l’inconscience englobe une partie du « Moi », le « Ça » et le « Surmoi ». D’une part, nous pouvons dire que l’Homme n’est pas responsable de ses actes inconscients et donc je ne suis pas responsables de mes actes inconscients qui sont plus nombreux que mes actes conscients. En d’autre thermes, nous pouvons dire que les enfants ne sont incapables d’affronter et d’être responsable de ces actes inconscients puisque les jeunes ne sont pas coupables de leurs gestes inconscients. Mais, nous ne pouvons pas en dire autant des adultes. Normalement, les individus majeurs devrait être responsable de leurs faits inconscients mais, ceci est tous le contraire. Puisque les personnes, ont tendance à ne plus faire attention à ce qui tourne

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