Compte rendu des entretiens sociologie

                                            Compte rendu des entretiens sociologie  

Problématique : Quels sont les facteurs qui engagent les individus à pratiquer du sport ?

Introduction :

En 2020, 65% des Français de 15 ans et plus ont pratiqué au moins une activité physique et sportive au cours des douze derniers mois selon le Baromètre national des pratiques sportives en 2020. Comment les regrouper y a-t-il des facteurs sociaux suivant l’âge, du niveau de diplôme, du milieu socio-économique, du sexe qui détermine et conditionne la pratique sportive ? .Tout en sachant qu’il en résulte des ressentis collectif commun du bien fait du sport "Ne pas se laisser aller"; "se prendre en main" ; "être acteur de sa vie", autant d’expressions quotidienne responsabilisant également les individus de leur sort. En 2019 un article paru dans la revue sociologie du sport par Pascal Duret dans lequel il retrace l’évolution de la pratique sportive et de ces déterminants sociaux en s’appuyant sur des travaux et enquête réaliser antérieurement. Ou il cherchera à démontrer en partant du constat global que le nombre de pratiquant est en augmentation continue depuis les années 70 ( en s’appuyant sur les études statistiques issu de l’INSEE) mais en mettant en avant dans d’autres parties de son article que le type de pratique sportive réalisé diffère néanmoins encore selon les caractéristique social de l’individu ou il mettra l’accent sur la distribution sexuelle des pratiques ainsi que des différenciations sociale des pratiques. Ce qui est également intéressant dans son article et qui est susceptible de nous intéresser dans l’analyse du sujet et de nos entretiens  Pascal Duret analyse le développement et le poids croissant de la pratique hors club tout en s’intéressant sur la pratique en club ou ll y consacre également dans une dernière partie intitulé le sport dans le cycle de vie ou il s’intéresse au facteur de l’âge qui détermine aussi notre type de pratique a un moment donné de notre vie en terminant par le constat qu’on assiste à une longévité de la pratique sportive en âge avancée et ce caractérisant par d autre type de pratique sportive. On retrouve également de nombreux travaux associant l’engagement dans le sport a la santé c’est la cas d’un mémoire de master qui se consacre entièrement a ce sujet publié par Florian EVEN en 2019 ou dans la 5eme partie de sa réflexion il s’intéresse a l’engagement des pratiquants du sport autour de l’enjeux de la santé et ou dans une 10eme est 11eme partie il approfondie sa réflexion en y montrant . Les conditions sociales d'engagement dans une pratique de « sport-santé » en y dressant une typologie des profils d'engagement des pratiquants. A travers ce compte rendu en s’appuyant sur l’analyse de nos entretiens et des travaux déjà réalisé dans le cadre de l’objet de la pratique sportive nous essayerons de répondre au problème suivant Quels sont les facteurs qui engagent les individus à pratiquer du sport ? Nous avons pour cela recueillie des informations auprès de personne directement concerné par le sujet sous une forme de récolte de donné de type quantitatif. Les discussions auront suivie l’ordre préétabli par le guide d’entretien sous la forme d’un entretien semi directif. Ainsi la personne du premier entretien s’appelle Jacob 19 ans actuellement il travail il réside chez ces parents avec son frère. Son père est contrôleur général des lieux de privation de liberté dans les prisons françaises sa mère est professeur de couture. Concernant le deuxième entretien il s’appelle Dani à 20 ans en troisième année à l’université Paris Sorbonne en langue étrangère anglais polonais il vit chez ces parents. Ces parents son divorcé depuis plus de 7ans concernant son père il ne se souviendra pas de la profession de son père durant le déroulement de l’entretien mais a toujours fait du sport de haut niveau son beau-père est chef d’entreprise d’une entreprise pour produit animalié a fait des études de juriste a la base enfin sa mère a était dans une grande école de management et une école de langue. Enfin la personne du troisième entretien s appel Gérard il a 84 ans a pris sa retraite a 60 ans ancien travailleur dans le bâtiment il est issu de la classe ouvrière son père meurt lorsqu’ il avait 7 ans sa mère était à la charge de lui et de son frère étant plus jeune. Pour répondre à notre problématique nous étudierons dans un premier temps les motivations collective et individuel a la pratique sportive pour ensuite nous intéresser dans une deuxième partie au rôle de la santé comme facteur d’engagement dans la pratique sportive et enfin nous porterons notre réflexion dans une troisième et dernière partie en s’interrogeant sous la forme de question : le sport est-il une activité socialement déterminée, des activité sportive de classe ?

Partie I : Des motivations collective et individuel à la pratique sportive

Dans un premier temps il convient de dresser un constat général à la pratique sportive en nous focalisant en premier lieu dans cette partie aux motivations collectives communes des individus. En effet, dans les 3 entretiens revient l’idée de pratiquer du sport a plusieurs soit en club comme c’est le cas de Jacob et de Dani pour Jacob « je pratique de l’athlétisme en club ,je possède une licence pour les compétions » Pour Dani « depuis 6ans je fais de l’avion a Lagny sur marne on s’entraine souvent on a pas mal de compète » pour Gérard « oui souvent de la marche à pieds en montagne avec des amis ma femme pendant les vacances 2 mois 3 fois la semaine… avec ma femme tout le reste de l’année on fait de la marche aussi » Donc il est en résulte pour la pratique sportive suivant les diffèrent profil jeune et plus âge une pratique commune s’identifiant a un collectif comme l étudiera Mylène Douet Guérin pendant sa thèse de doctorat la pratique sportive résulte d’un processus de norme et de socialisation par l’intégration social à travers un collectif. Cette intégration dans un collectif peut être source de motivation à réaliser régulièrement la pratique du sport pour chacun des membres du collectif. Jacob «je n’aime pas trop la salle de sport commerciale je préfère la salle de l’athlétisme  avec le groupe je préfère, aller faire en groupe que faire tout seul je considère que on est plus concentré tout seul ,mais en groupe il y a une ambiance il y a une certaine frome de rivalité qui me permet de me surpasser car envie de faire plus que l’autre ca m’aide qu’il y est de gens autour de moi pour aller plus loin ça me donne des repères , un point d appuie pour pouvoir se surpasser me donne aussi de la force il y a de la solidarité importante dans le groupe » Dani (à commencer depuis que il a 14 ans l’aviron en début de 3eme au collège) « 2 a 8 au début ça devient des amis ont grandi tous ensemble on est arrivé tôt donc plus simple de s entrainer des fois à 8 sur le bateau ça motive »  Gérard « ca dépend aussi du courage des autres on est plus jeunes depuis 40 ans on fait ensemble on  s’est connu au camping on se retrouve tous les ans depuis 40 ans surtout l’été la journée » Ainsi ces résultats viennent confirmer le constat de Pascal Duret et les données statistiques utilisé 48 pour cent des individus qui déclare faire de la compétions et être licencié en club en moins de 30 . On rajoutera aussi l’argument de la pratique hors club concernant également les plus âge comme on l’a vu avec Gérard elle serait due au faite que au sein de la France plus spécifiquement, la longévité constitue ainsi un défi global impliquant de nombreuses recherches dans des domaines scientifiques très variés, mais aussi un intérêt politique sans précédent. Ou depuis « plusieurs décennies la population française vieillit, sous le double effet de l’augmentation de l’espérance de vie et de l’avancée en âge des baby-boomers. L’espérance de vie est ainsi passée de 77,7 ans il y a 20 ans à 81,9 ans aujourd’hui. D’autre part, depuis trois ans, les premières générations du baby-boom (1946-1973) dépassent les 65 ans » des données issu de l’article de Jeremy Pierre, Christine Caluzio, Pierre-Olaf Schut paru en 2015 s intitulant La pratique sportive des seniors : des profils et besoins variés. Impliquant la part de la population la plus âge a continué de pratiquer du sport après 60 ans grâce à l’avancement de l’espérance de vie et des progrès fait dans la médecines depuis ces 20 dernières décennies, et du haut niveaux de développement en France avec un système d’assurance santé et de soin comptant comme l’un des meilleurs au monde. Apres avoir dressé le constat d’une motivation collective à la pratique nous allons nous intéresser dans un deuxième temps dans cette première partie au ressenti individuel a la pratique sportive en revenant sur des causes moins générales a la pratique.

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