Conceptualisation en philosophie
Synthèse : Conceptualisation en philosophie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Léo GUILLEMIN • 30 Avril 2024 • Synthèse • 520 Mots (3 Pages) • 122 Vues
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Anecdotique Conceptualisation
Ce qui se limite à du récit, de la Sortir de ce que l’on décrit ou description, souvent d’une raconte, le regarder de [pic 1]
expérience quotidienne dans l’extérieur, comme si l’on était
laquelle on s’inclut un observateur qui réfléchit
3 exemples :
Nos proches, plus particulèrement nos parents, ont toujours été présents dans notre vie, ils nous donnent une éducation, ils nous font avancer en prenant certaines décisions pour nous. Nous sommes sous leur responsablilité jusqu’à la majorité, et nous ne pouvons pas faire ce que nous voulons sans le leur demander, puisque nous ne sommes pas adultes.
Il est important de préparer son avenir, car cela nous permet de découvrir de nouvelles opportunités d’études et de nouveaux métiers intéressants, comme on le voit dans les salons d’étudiants. Préparer l’avenir nous ouvre des horizons et nous permet de pouvoir faire quelque chose plus tard, et donc, au final, de pouvoir être heureux au niveau professionnel.
De très bons amis, ne voulant pas se séparer, peuvent faire le choix de commencer les mêmes études. Donc par pitié ou par peur de se retouver seul, on va sacrifier nos choix pour se rapprocher du choix de nos amis. Mais ils n’ont pas forcément les mêmes projets que nous, et lorsqu’on les suit où ils vont, on ne se prépare pas une vie heureuse, car on va devoir faire comme eux vont faire.
Il y a une partition sociale très franche entre l’enfant et l’adulte, qui fait de l’enfant un être en état de dépendance et de minorité, voire en état d’incapacité à se gouverner lui-même. En retour, l’adulte est socialement présupposé (sans jamais avoir eu à le prouver) comme capable de se gouverner lui-même et, en conséquence, de gouverner ses enfants.[pic 2]
La préparation de l’avenir est une forte exigence imposée à l’ensemble des éléments qui composent une société. Au point qu’on pourrait supposer qu’une société ne tire sa robustesse et sa consistance que de sa capacité à organiser la préparation de son avenir. Peut-être parce que l’ordre social luimême y trouve du sens, dans la mesure où cela contribue à la sécurité et à la paix.
Le problème de la liberté est qu’elle nécessite de faire des choix. Et lorsqu’on fait des choix, on se porte vers quelque chose en abandonnant une autre chose. Mais justement, la liberté de choisir n’est pas toujours sans douleur, car dans ce à quoi l’on doit renoncer, il y a souvent aussi ce qu’on aurait préféré pouvoir garder. C’est d’ailleurs ce qui explique que nous faisons parfois de mauvais choix, préférant conserver ce à quoi nous aurions dû renoncer.[pic 3]
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