Mon Bel Oranger

j'aimerai bien avoir un exposé

Bonjour !

Aujourd’hui je vais vous présenter un livre un peu particulier. C’est un livre à la fois autobiographique et fantastique, mais surtout, c’est un livre qu’on étudie en Cm2, mais aussi au Collège et au Lycée. peu courant, hein ! Il s’agit donc de « Mon bel Oranger » de José Mauro de Vasconcelos, un brésilien. Selon l’auteur, ce livre est « l’histoire d’un petit garçon, qui, un jour, découvrit la douleur ».

L’histoire de Zézé donc, petit garçon de 5 ans d’une famille très pauvre au Brésil, est maltraité par ses sœurs et son père. C’est cependant un enfant très intelligent et très sensible, et qui, pour échapper a la réalité, va se confier à son nouvel ami : un petit pied d’oranges douces, qui l’écoute et lui répond.

C’est un petit garçon espiègle, provocateur mais qui connaît aussi ses atouts physiques : tout petit, maigre et blond (ça court pas les rues au Brésil), il sait se servir de ces charmes pour séduire le monde, pour avoir un retour d’affection...Ou pour avoir de l'argent :p

Zézé a cinq frères et sœurs : Jandira et Lala, qui le battent souvent ; Totoca, le grand frère « normal », Gloria (la seule blonde avec Zézé) qui est son véritable soutien familial et qui prend un peu la place maternelle vis-à-vis de Zézé ; Enfin, le petit frère, Luìs, petit « favori » de la famille, très calme, très sage, mais très accroché à Zézé.

Ensuite, il y sa mère, d'origine indienne, plutôt douce, pas vraiment violente, mais complètement dépassée et écrasée par sa situation. Elle est assez absente au niveau affectif. Puis son père, au chômage, aspiré dans un monde de travail, soucis d’argent et malheur, il est complètement perdu et n’arrivera pas a temps a garder son fils.

Enfin, les deux personnages principaux dans sa vie : Manuel Valadares, un portugais ; et le pied d’oranges douces, que Zézé appelle Minghino ou Xururuca.

L’histoire de Zézé commence là : c’est un petit garçon de 5ans, battu et incompris. Pourtant, il fait preuve d’une maturité impressionnante, qui fait qu’il comprend plus de choses que les habituels enfants de son âge. Le problème, c’est que cette maturité lui montre une réalité sombre et malheureuse, et c’est ce qui le fait souffrir. C’est donc pour cela que Zézé mélange réalité et imaginaire : Le pied d’oranges douces, Luciano ou toutes ses histoires qu’il s’invente pour vivre un rêve et donc survivre dans la réalité.

Malgré tout, par une mésaventure, Zézé va découvrir la tendresse, et l’amour. Il va s’ouvrir, et connaître une belle ébauche du bonheur.

Cependant, qui découvre le bonheur découvre la douleur, et Zézé va l’expérimenter d’une façon violente et grave, c’est le point sensible du livre. Là ou un enfant, on peut dire innocent, découvre vraiment ce qu’est la souffrance, et ce grâce à sa maturité…

Je ne vous en dis pas plus, pour vous laisser découvrir.

Mais ce livre laisse clairement entendre que le bonheur, l’amour, sont les principaux responsables de la douleur,

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