Racine, aveu de Phèdre à Oenone
Commentaire de texte : Racine, aveu de Phèdre à Oenone. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar TRIGGERED • 29 Mars 2021 • Commentaire de texte • 750 Mots (3 Pages) • 583 Vues
français
Fasse au texte de Racine, nous commençons par identifier le thème et la forme.
Le thème du Texte est un aveu de Phèdre à Œnone. Le génie du théâtre est la parole donc avec ces information on fais une question:
Comment racine exprime la parole par l’aveu de Phèdre à Œnone
Pour répondre à cette question on répondra par 3 autres.
1 Comment les paroles animent-elles les personnages ?
2 comment les paroles sont-elle liées entre elle pour former un
dialogue entre Agnès et Arnolphe ?
3 comment cette liaison traduit-elle une relation entre les personnage
I Comment les paroles animent-elles les personnages ?
Racine donne des informations sur les personnage avec une préface
On sait grâce à ça que Phèdre est épouse de Thésée
On sait aussi que Phèdre aime une autre personne en faisant la confession à sa nourrice:
“PHÈDRE J’aime… À ce nom fatal, je tremble, je frissonne. J’aime…
ŒNONE Qui ?
PHÈDRE Tu connais ce fils de l’Amazone, Ce prince si longtemps par moi-même opprimé “ (ligne 2 à 5)
Œnone est, après cette aveu outré on le remarque avec l’exclamation de sa phrase et de l’énonciation des dieux:
“ŒNONE Hippolyte ! Grands dieux !” (ligne 5)
Cette réaction montre le jugement que porte Œnone à Phèdre après cette confession.
Dans cette scène, Œnone n’écoute pas Phèdre : elle répond par des questions courtes, rapides, contrairement à Phèdre qui elle réplique par des phrases déclaratives.La forme de la parole sont des échanges courts:
“ŒNONE Aimez-vous ?
PHÈDRE De l’amour j’ai toutes les fureurs.
ŒNONE Pour qui ?” (ligne 1)
la forme de la parole change à partir du moment où Phèdre dévoue de qui elle est amoureuse Œnone répond avec des reproches et des exclamation et Phèdre, répond par un long monologue:
“ŒNONE Juste ciel ! tout mon sang dans mes veines se glace. Ô désespoir ! ô crime ! ô déplorable race ! Voyage infortuné ! rivage malheureux ! Fallait-il approcher de tes bords dangereux ?
PHÈDRE Mon mal vient de plus loin. (. . .), Et que tes vains secours cessent de rappeler un reste de chaleur, tout prêt à s’exhaler.”
(ligne 7 à 58)
La parole occupe toute la pièce entre le dialogue entre Œnone et Phèdre et ensuite par le monologue de Phèdre. Dans
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