Rabelais et l'humanisme

Rabelais et l'humanisme

Les valeurs de l'humanisme de la Renaissance sont la place centrale de l'homme, l'éducation humaniste, la manière de diriger les hommes, une société pacifié et l'éloge de la beauté. Dans le roman de Rabelais, la première valeur humaniste est exprimée par le personnage éponyme, autour duquel se déroule l'histoire. L'éducation humaniste apparaît vers le début du roman lorsque Gargantua commence son instruction. Puis il est envoyé vers Paris afin de poursuivre ses études. De plus tout au long du roman, Gargantua a soif d'apprendre et lorsque apparaît quelque chose qu'il ignore, il va en demander l'explication. Parfois à certains moment, c'est lui qui va instruire aux autres personnes du royaume. Ensuite la valeur nommé « le Bon Prince » dans le document 5 est véhiculé dans le texte lorsque la guerre se déclare. Dans les deux clans formés, Grandgousier et Picrochole, les deux chefs, rassemblent une armée. Dans le clans de Picrochole, on voit bien la place du Maître qu'il occupe et les autres membres de son royaume sont forcés de lui obéir. Ici, la façon de diriger les hommes est exprimée par la supériorité d'un être qui impose ses lois et l'obéissance des hommes du royaume vis-à-vis des ordres donnés. La valeur d'une société humaine pacifié n'est pas tellement respectée. Au début du roman, la vie se déroule paisiblement mais celle-ci est vite rattrapée par une guerre qui va prendre de grande ampleur, ceci est contre ce principe. Mais la fin du roman se termine par la mise en place d'une utopie car Gargantua se termine par la fondation de l'Abbaye de Thélème où la vie est paisible et chacun est libre de faire ce qu'il lui plaît : « fais ce que tu voudras ». Finalement l'éloge de la beauté apparaît à la fin du roman, dans l'Abbaye de Thélème où a lieu une description des femmes et de leurs apparences, des vêtements qu'elles portent et comment elles se comportent.

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