Penser l'identité et l'altérité

Sarah                                              Devoir n°1

                                          « Penser l’identité et l’altérité »

MESSU

            Nous pouvons voir que dans cet extrait tiré de cette ouvrage ethnologie  de Joseph Conrad , intitulé « Au cœur des ténèbres »  des similitudes avec des enjeux analysés en cours par rapport a l’autre .

         Nous pouvons supposer dans un premier temps que dans cette extrait de « Au cœur des ténèbres » les « sauvages » ,« aborigènes » pratique une cérémonie religieuse ou bien une de leur tradition près du fleuve d’Afrique  décrit part le narrateur du livre nommé Marlow « [...]une femme se déplaçait, apparition sauvage et magnifique. ». Ce qui peut nous faire penser a un  mythes ethnoreligieux qui est détailler tout au long de l’extrait de ce court roman de Joseph Conrad, mais nous ne pouvons pas affirmer ou non que les faits décrits sont exagérer ou non . Ce qui serait une vision erroné de l’activité faite durant cet extrait par les aborigènes .  Nous pouvons voir que le seul personnage qui est sur le bateau à vapeur et qui est estomaqué, ébahi par ce spectacle est le narrateur,Marlow (nous pouvons supposer que ces personnes sur le bateau à vapeur sont blanches.)

Les autres personnes présentent sur le bateau à vapeur sont plus affligé, étonné par la scène faite par les aborigène   « […] . Le jeune garçon à côté de moi grogna. Les pèlerins dans mon dos murmurèrent ».

        Dans un second temps nous pouvons sous entendre la rébellion des aborigènes dans cet extrait de l’extrait«Elle arriva au niveau du vapeur, s'arrêta, et nous fit face. Son ombre allongée tombait jusqu'au bord de l'eau. Son visage avait un air tragique et farouche de tristesse égarée et de douleur muette mêlées à l'appréhension de quelque résolution débattue, à demi formée. Elle était debout à nous regarder sans un geste, pareille à la brousse même, avec un air de méditer sur un insondable dessein. Toute une minute se passa, puis elle fit un pas en avant. » Cette rébellion des aborigènes est principalement due à l’impérialisme des colonisateurs Blancs et donc perdrons leurs culture et leur mythes pour faire place au christianisme, ceci est due au pouvoir performatifs .  

       Finalement nous pouvons dire de cet extrait de l’œuvre de Joseph Conrad intitulé « Au cœur des ténèbres » qu’il met en lumière plusieurs sujet tel que les mythes et/ou les traditions aborigènes mais aussi l’impérialisme de la colonisation blanche. Comme le dit le poète , dramaturge et homme politique français Marie-Joseph Chénier  « Dieu fit la liberté, l’homme a fait l’esclavage ».

...