On ne badine pas avec l’amour
Fiche de lecture : On ne badine pas avec l’amour. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar thibaud69300 • 23 Février 2014 • Fiche de lecture • 321 Mots (2 Pages) • 814 Vues
On ne badine pas avec l’amour.
Musset (page 122-123)
TEXTE 1 (Acte I scène 5)
Musset met en scène dans le premier texte 3 personnages: Maître Bridaine et Maître Blazius qui sont deux hommes d’Eglise et un Baron.
Le langage est familier “Ivrogne”.
Ironie: Les deux hommes d’églises se font appeler Maître alors qu’ils ont un comportement enfantin.
Utilisation très possible du comique de geste par les metteurs en scènes.
Confrontation entre deux sortes de personne: Un baron Noble et Digne, et deux hommes d’église ivre avec un comportement enfantin. Le baron dit même d’eux “Bridaine va de travers et Blazius sent le vin à faire horreur” ---> Blazius dit que Bridaine a bu alors que le baron trouve que Blazius sent le vin à faire horreur. concept de l’arroseur arrosé.
Blazius --> précepteur du fils du baron
Bridaine --> curré de la paroisse
Registre grotesque, critique de la société
TEXTE 2 (acte 2 scène 5)
Le texte 2 est une tirade de Perdican qui a pour but de persuader Camille, sa cousine, de l’aimer, il cherche à jouer sur ses sentiments et à la dégouter du couvant
Perdicant est touchant et romantique, il explique l’amour celon lui et dit qu’il est trompé par l’amour. Il n’est pas présent dans le texte 1 mais on parle de lui.
Dans la tyrade :
- Passé composé (Donne une impression de vécu, de Bilan)
Il est très informé sur l’amour, il affirme avoir aimé, et fait un bilan de sa vie alors qu’il est relativement jeune.
Il juge tout le monde, les jeunes les vieux les hommes les femmes ,avec une figure de style
--> Accumulation d’adjectif. L’effet donné est une accentuation il y a une suite de 9 adjectifs pour les hommes et une suite de 5 adjectifs pour les femmes.
Ligne 11: Anaphore de l’adverbe “Souvent” repris 3 fois --> accentue le fait que l’amour rend malheureux.
CONCLUSION
L’auteur fait preuve de souplesse puisqu’il y a confrontation entre le registre grotesque (texte 1) et le registre sublime (texte 2)
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