Montaigne, extrait de l'amitié
Cours : Montaigne, extrait de l'amitié. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ddmln • 25 Mars 2018 • Cours • 600 Mots (3 Pages) • 979 Vues
Pq cet extrait ? Qu'est ce que j'ai aimé ? Que puis-je relever ?
J'ai choisi le sujet de l'amitié, sujet dans lequel l'auteur y raconte son expérience notamment avec son ami La Boétie. Il décrit une amitié très forte et rare. « cette amitié, que nous avons nourrie, tant que Dieu a voulu, entre nous, si entière et parfaite »
Auteur = intime J'ai pu reconnaître à travers ses mots ma meilleure amie et les sentiments que je ressens pour elle qui sont très proches de ceux de Montaigne. Il confronte l'amitié à d'autres relations de deux être tels que l'amour parental, l'amour fraternelle, l'amour conjugual.. « ces amitiés-là nous sont comme imposées par la loi naturelle et ses obligations, elles relèvent d’autant moins de notre volonté et de notre libre choix »
« l'amour c’est un feu téméraire et volage, variable et varié, une fièvre sujette à des accès et des rémissions, qui ne nous tient que par un coin de nous-même. L’amitié, au contraire, est une chaleur générale et universelle, au demeurant tempérée et égale à elle-même, une chaleur constante et tranquille, toute de douceur et de délicatesse, qui n’a rien de violent ni de poignant. »
J'ai eu à la fois de la peine pour l'auteur qui a perdu son plus grand ami à ce moment de sa vie mais aussi de la reconnaissance d'avoir toujours ma meilleure amie à mes côtés. Montaigne m'a fait rendre compte de la chance que j'ai d'être si bien entourée et la valeur de l'amitié.
S'appuie sur des eemples : Eudamidas, Aréthéos
De l'amitié
J'ai choisis ce chapitre par son titre qui raisonne en moi comme l'un des plus grands bonheur de la vie. Dans celui-ci, j'ai pu voir à quel point l'auteur était intime avec le lecteur. J'ai bien reconnu ici le côté « c'est un livre pour moi » qu'on a pu lire lors de la première séance. Il nous livre sa propre expérience sur le sujet de l'amitié en s'appuyant sur sa relation avec La Boétie dans laquelle je me suis moi-même reconnue.
Ces mots ont fait rapidement écho à ma meilleure amie pour laquelle je ressens, à la manière de Montaigne, des sentiments très fort et avec qui, comme dirait celui-ci je partage une amitié « que nous avons nourrie, tant que Dieu a voulu, entre nous, si entière et parfaite » : une amitié sincère et unique. Ainsi, en m'identifiant à l'auteur, j'ai ressenti de la peine pour ce dernier qui, à ce moment de sa vie, a perdu le seul et unique confident qui pût lire en lui à livre ouvert mais, je me suis senti également très reconnaissante d'avoir toujours cette amie à mes côtés. C'est un chapitre qui m'a beaucoup parlé.
Sa conception de l'amitié est d'autant plus intéressante qu'il la compare à d'autre rapports humains tel que l'amour parental, l'amour fraternel ou encore l'amour conjugual. Pour l'auteur, l'amitié vaut bien mieux que ces autres. Par exemple, il dit que l'amour conjugual est « un feu téméraire et volage, variable et varié, une fièvre sujette à des accès et des rémissions, qui ne nous tient que par un coin de nous-même. » et que l'amitié est au contraire « une chaleur générale et universelle, au demeurant tempérée et égale à elle-même, une chaleur constante et tranquille, toute de douceur et de délicatesse, qui n’a rien de violent ni de poignant. » et que l'amour familial n'est rien d'autre « qu'une amitié imposées par la loi naturelle et ses obligations ».
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