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Littérature et imaginaire

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Par   •  27 Septembre 2018  •  Commentaire d'oeuvre  •  438 Mots (2 Pages)  •  505 Vues

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Peter Elzawahery

300.32 Sc. humaines profil : Administration

000027

Procédés d'écritures sur notre poème

Travail d’analyse présenté à

 Jean-Philippe Martel

Littérature et imaginaire

Cours 601-102

Collège Montmorency

Le 11 septembre 2017

Première figure de style

La première figure de style survient au 7e vers et au tout début du 8e (rejet) :

 « Et trempera son corps asséché dans l'étang

 De la haine, puisant force dans ce bassin »

Dans ce passage, l'utilisation de la métaphore est évidente lorsqu'on prend le temps de l'analyser. Les termes « étang » et « haine » sont mis en parallèle pour rapprocher la haine de l'Homme aux caractéristiques communes d'un étang. Grâce à cette métaphore, on peut comprendre que comme un étang, la haine humaine est profonde, vaste, voire même sans fond puisqu'on ne sait pas où la profondeur de celui-ci se termine. On pourrait également dire que le vice de l'Homme, la haine, suggère qu'il est si dévastateur qu'on peut s'y noyer comme dans un étang.

Deuxième figure de style

La deuxième figure de style se situe au tout dernier vers du poème :

« Époque malheureuse où la haine gouverne »

Lors de ce vers, la personnification est utilisée pour conjuguer la haine à une action humaine, celle de gouverner. En personnifiant la haine au pouvoir de gouverner, on évoque que celle-ci peut diriger/commander nos actions et réflexions. Cette haine est décrite comme ayant le pouvoir de gouverner l'Homme dans ses prises de décisions.

Troisième figure de style

La troisième et dernière figure de style est au 4e vers:

« Ce siècle dérisoire où les frères se poussent »

Dans ce vers, l'allégorie est utilisée pour illustrer une notion abstraite, la confrontation, par l'entremise d'un élément concret, le contact direct entre les frères. L'auteur (moi) présente des frères qui se poussent comme étant l'ensemble des sociétés qui se confrontent à cause de leurs idéologies et opinions qui diffèrent. L'animosité entre les Hommes est symbolisée par des individus qui se poussent. Au sens propre, lorsqu'on parle de frères qui se poussent, on pense à des individus qui se bousculent, mais si l'on interprète l'allégorie au sens figuré, on peut deviner que plusieurs personnes ou sociétés sont en confrontations physiques et psychologiques pour des raison aussi insignifiantes que la différence entre confrères de sexe, de religion, d'idéologie politique, etc...                                                                     (355mots)

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