Le Roi Se Meurt

Il porte un sceptre et une couronne, symboles de son pouvoir. Le roi Bérenger Ier doit faire face à l’annonce de sa mort imminente, inéluctable, et inacceptable pour lui.

Sa santé se dégrade : 

 il a des douleurs 

 il tombe à de nombreuses reprises. [A relier à l’idée de « chute » : annonce de la mort]

Parallèlement à cette dégradation physique, on note une dégradation progressive du royaume : 

 la salle du trône est sale et inconfortable 

 il y fait froid : le chauffage refuse de fonctionner [froid : symbole de la mort] 

 le soleil se rebelle et ne chauffe plus 

 les murs du palais se fissurent.

Le roi perd également sa capacité à gouverner, son pouvoir sur les autres, signe que les autres personnages ne le considèrent plus comme un roi :

 Perte de son autorité : plus personne ne lui obéit

le garde obéit aux ordres de Marguerite, mais pas à ceux du roi

même Marie, qui voudraient lui obéir, n’y parvient pas [Citations ?]

 C’est désormais Marguerite qui semble diriger le royaume.

Comportement puéril : tout au long de la pièce, il se comporte comme un enfant : il a des réactions et des geste enfantins. [Exemples ?]

Comportement absurde : 

 Persuadé qu’il peut tout contrôler : par exemple selon lui, il ne mourra que quand il en aura envie. 

 Ses paroles ont de moins en moins de sens : [Exemples ?]

Perte de dignité : 

 Supplication adressée au soleil [Citation ?] 

 Il en arrive à supplier son médecin de ne pas le laisser mourir.

Évolution du personnage : face à l’idée de sa mort toute proche, il passe par plusieurs phases : 

 Tout d’abord, refus catégorique de mourir : phase de déni 

 Puis, obligé de se rendre à l’évidence : phase de révolte contre cette mort. Il dévoile un caractère capricieux et égoïste : « que tous meurent, mais que moi je reste ». 

 Enfin, phase de résignation, acceptation de cette mort.

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