La canadianité

La canadianité se développe dans un premier temps dans la période du régime français et par la suite avec l’arrivé des colons loyalistes résultant la Conquête. Pour les canadiens, la conquête renvoie a deux facteur : le cosmopolitisme et la juxtaposition des cultures indienne, métis, françaises et anglophones.  L’auteur, Claude Poirier, distinguera  4 types de métis   : Le pré-Canadien, Les Franco-Canadiens, Les anglo-Canadien et les néo-Canadiens. . Les anciens Canadiens étaient des coureurs des bois qui eux,  faisaient  la traite des fourrures avec les français. Ils eurent leur premier contact sur les rives du Saint-Laurent et par la suite,  ils suivront  leur route vers les rivières du Pays-d ‘en-Haut. De plus, avec l’arrivée massive des colons loyalistes, ils sont arrachés de leur terre natale et mis dans des réserves. Ce qui m’amène à parles des canadiens-anglophones qui sont des métis d’origine écossaise et indienne, formé à partir de la traite baie d’Hudson. Ils seront sous les ordres des loyalistes protestant et prendront leurs valeurs et leurs traditions .Le nouveau canadien du Nord-ouest sera inspiré  à la fois un monde de vie nomade et sédentaire qui lui sera donnée du colon loyaliste.  En bref, la Grande-Bretagne avait promis que les arrivants européens et le gouvernement colonial allaient reconnaître les droits autochtones au territoire. Cette promesse, cependant, n’a pas toujours été respectée. Dès la Confédération, le gouvernement du Canada cherchait plutôt à exploiter plus de territoire.

Les autochtones sont divisés en six groupes différents de l’est à l’ouest du Canada. Ce qui les unies tous est de vivre en harmonie c’est-à-dire l’homme avec  la nature, de respecter tous ce qui engobe la nature, des récoltes lors de festivals, de cérémonies (chants et danses) et de partager des valeurs commune comme  l’amour, l’entraide, le  respect, le courage et l’honnêteté. L’arrivée des nouveaux arrivants, changera la vie des autochtones à tout jamais.  La première rencontre entre les Autochtones et les Européens fut dans le cadre de la chasse, de la pêche et de la traite de fourrures. À mesure que la colonisation avançait, elle  exigeait davantage de terres de ceux-ci. Les Premières Nations et le gouvernement britannique conclurent  des traités numérotés. La principale crainte que les chefs des autochtones qui signerent les traités était  l’éducation de leurs enfants. Cependant, la seule chose que le gouvernement avait en tête était convaincre les Autochtones d’abandonner leur mode de vie, leur culture et de les assimilés à la religion catholique  .Le gouvernement n’a pas tenu ses promesses et il plaça les autochtones dans des réserves. Finalement, en 1973, le bureau des revendications des autochtones a été créé par  le gouvernement fédéral. En bref, après plusieurs années de revendications, le gouvernement a enfin reconnu les droits des autochtones

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