L'assommoir d'Emile Zola
Compte rendu : L'assommoir d'Emile Zola. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Jean rigourd • 2 Avril 2022 • Compte rendu • 487 Mots (2 Pages) • 274 Vues
Suite a ma lecture jai choisit de vous presentez L’assommoir en effet Emile Zola na pas choisit le nom de ce cabaret comme titre de son roman par hasard …
Pour commencer i je me suis demander quel etais le lien entre ce lieux et le roman , le calsse ouvriere voila de quoi parle zola , les probleme d’alcoolisme , la vie dans la misere , les debordement de ces travilleur de l’haube , voila le lien .Au petit matin avant d’aller traviller dans les monstre de fer , les travilleur ce reunissais dans ce cabaret insalubre et dans lequel l’acoll coulais a flot , Zola fais une description tres precise de ce lieux , le lecteur ( en locurence moi ) peux vraiment bien e projeter dans ce lieux , il y a comme un e sorte’ de mise en scene , un zoom sur le lieuxc de plus ne plus precis il commence a le situe dans l’espace puis la facade puis le mobilier intérieur : pour preuve voila quelque exemples de description (localisation ) « L’assommoir du père Colonbe se trouvait au coin de la rue des Poissonniers et du boulevard de Rochechouart »(page 76) .Pour ce qui est de la façade , on as une description tres détailler « Lenseigne portait , en longues lettres bleues , le seul mot : Distillation , d’un bout a l’autre . Il y avait à la porte, dans deux moitiés de futaille, des lauriers-roses poussiéreux. » Apres cela , l’on passe a la description intérieure « Le comptoir énorme, avec ses files de verres, sa fontaine et ses mesures d'étain, s'allongeait à gauche en entrant ; et la vaste salle, tout autour, était ornée de gros tonneaux peints en jaune clair, miroitants de vernis, dont les cercles et les cannelles de cuivre luisaient. » Les quelque mots : ses files de verre montgre bien a quel point les client sont alcolique mais la suite acentu entre plus cette ide « Plus haut, sur des étagères, des bouteilles de liqueurs, des bocaux de fruits, toutes sortes de fioles en bon ordre, cachaient les murs, reflé taient dans la glace, derrière le comptoir, leurs taches vives, vert pomme, or pâle, laque tendre » Rien que en lissant ces quelques phrase on peux toltalemnt se plonger dans le millieux de vie des ouvrier . Ensuite zola parle d’un objet bien particulier dans le bar , je vous en parlerais dans mon objet marquant mais voila comment celui-ci est decrit « Mais la curiosité de la maison était, au fond[…], l'appareil à distiller que les consommateurs voyaient fonctionner, des alambics aux longs cols, des serpentins descendant sous terre, une cuisine du diable devant laquelle venaient rêver les ouvriers soulards., le faite d’utiliser le verbe rever montre encorte plus l’adiction des ouvrier a lalcolle
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