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L'Assommoir, Emile Zola

Commentaire de texte : L'Assommoir, Emile Zola. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  28 Mars 2021  •  Commentaire de texte  •  612 Mots (3 Pages)  •  898 Vues

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L’Assommoir est un des romans des Rougon-Macquart, où Zola analyse les milieux ouvriers et commerçants dans le quartier de la Goutte d’or à Paris. Il traite aussi du problème de l’alcoolisme. Dans cet extrait, le personnage principal, Gervaise, qui possède une blanchisserie qui à ce moment fonctionne bien, offre un festin à ses voisins pour son anniversaire. En quoi ce festin révèle-t-il une vision naturaliste de la société ? Nous allons tout d’abord voir en quoi c’est une scène de festin puis savoir en quoi c’est une scène naturaliste.

Dans un premier temps, cette scène est une scène de festin.

Tout d’abord, on voit que c’est un tableau qui est vivant. En effet il y’a des jeux de regards et relations entre les personnages. Car le regard parcourt le tableau dans le détail en suivant les liens entre les personnages et de la nourriture. Par exemple Gervaise mange et regarde Goujet qui regarde Gervaise servir le père Bru. Les femmes mangent la carcasse, Virginie, la peau, Clémence, le croupion et Clémence et Boche qui flirtent. Il y’a aussi une sorte de polyphonie car on a l’impression d’entendre des multiples voix des personnages ce qui fait que c’est un tableau vivant. On a le discours indirect libre qui est très présent ainsi que la ponctuation qui est expressive. Ce qui fait que par conséquent tout se mélange et se confond dans la nourriture et les propos débordent de tout côté. Et à la fin même, il devient impossible d’identifier ceux qui parlent. Et enfin c’est une scène de partage car on voit qu’ils se partagent des morceaux de l’oie. Ce qui réunit ces personnages et le rapprochement de la festivité et du repas.

De plus on peut avoir l’impression que c’est une orgie. En effet on voit qu’il y’a une abondance de nourriture et de vin. L’abondance et la gourmandise des convives, voire la gloutonnerie : ils se jettent sur la nourriture. Et La gourmandise est comparés à « un dessert » ligne 21.

Dans un seconde temps on remarque que c’est une scène qui est naturaliste.

Tout d’abord, c’est une peinture d’un milieu populaire. En effet Ils sont issus de la classe ouvrière car on voit que dans l’introduction leur ville est dans un quartier populaire.

De plus, il y’a des personnages qui ont des instincts animaux. En effet, Les invités se comportent de manière gourmande comme des animaux affamés. Ils engloutissent les nourritures et leurs instincts sont animaux. Par exemple Gervaise qui semble devenir l’oie et qui gloutonne, les Lorilleux qui mangent tout ce qu’il semble leur appartenir comme « la table et la boutique » Clémence un personnage sensuel, Goujet qui « s’emplissait » et Bosh qui est entreprenant. Leur comparaison est du à une métaphore animal

Ainsi il y’a la critique de Zola. En effet ce texte est réaliste et naturaliste car Zola est observe. Il met en scène des personnages dans une situation précise et observe leur comportement c’est-à-dire ce qu'ils mangent, la manière dont ils mangent, leurs désirs, leurs sentiments, etc.

Et l’annonce de la fin du livre c’est-à-dire Les Lorilleux qui ruinent Gervaise et le problème de l’alcoolisme est une comparaison pour montrer abondance d’alcool c’est-à-dire problème de l’alcoolisme dans le livre.

L’ambition

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