Etude d'une oeuvre

On va clôturer sur Claude Régie

Présence, cérémonie, paysage, choralité

Lire le spectacle à travers ces axes, la question sousjasante c’est de voir en quoi les ruptures esthétiques dans ces œuvre on cisitu un tournant, en quoi on peut les retrouver dans c euvres contemporaine, en quoi ces œuvres sont héritière et comment cette héritage se traduit dans la direction d’acteur, dans la dramaturgie. Se transformer en historien du th , dans les eouvres il y a peut être des éléments qui proviennent de bob wilson, de claude régi, de kantor .

La question du th d’image on peut le retrouver chez catelluccci, la question de la présence de l’acteur travailler sur la pr&sence de l’acteur est un élement très important, la question de l’etre là, plus forcément jouer un personnage mais juste être là. Les répets que le prof fessait était constamment ça. La pr&sence phydiqur de l’acteur, la façon ou il le point  du temps ou il est boservé ou observateyr

La question du chœur on la trove aussi dans cette idée qu’un personnge est prise par plusieurs acteutrs, plusieurs voix pour un seul personnage.

Chœur, paysage dans cette pièce ( frank dimek ? )

Il y a un travail archéologique pour essayer de faire resurgir une mémire ancienne du spectacle, un articple, une photo.

Faire le lien avec ces ruptures ethétiques, quelles sont les héritages, objectif voir comment ces héritages sont présent dans les eouvres contemporaines ? de façon revandiquer ou malgré elle.

1 spectacle, ou plusieurs du même metteur en scène

1 ou deux copies doubles pas diluer, resserrer mais déplier un zxe

Claude régi :

Deux axtraits très courts : archive de l’inea , spectacle des années 70 et peut etytre pas trèsd représentative de ce qu’il fait aujourd’hui, mais peut-etre ça.. un chemin.

A propos de la chevauchée sur le lac de constance

Pour commencer cette séance un prologue, témoignange d’un drammaturgie Yoko Mana, quand j’ai vu quelqu’un va venir, un spectacle de claude régi… par exemple : les représentations de th traditionnel sont contrainiante et peu évidentente, on disait même aux enfants si tu conitnu je t’enmene au th no…. Ça m’a tout de suite frappé parceque il y a la question de la contraite, de supporter la von traite pghysique pour l’acteur et le spectateur et préparer son corps pour une expérience, le specta cle de claude régi invite les spctateurs a vivre une expérience supérieur que celle du cntidien. Claude régi a entammé une collaboration au japon, et tout ces spectacles dans le cadre de la colloab on était monté dans le lieu , th installé dans un parc au milieu des bois au pieds du mont fusshi. Je m’inerroge pourquoi claude rrégi réalise autant de colabo avec le jampon.

3 parties : cérémonie et présence chez régi cela procède d’un franchissement des ..feuilles

Deuxième temps j’interrogerai la question du sublime

Et enfin le vth comme rituel. C’est-à-dire…

Nous avions dit que le tr de régi necsité chez l’acteur une certaine disponivbiblité qui n’était pas sans diffuculté, et l’in des acteurs xavier marchand qui intervient de tems en temps à la fac, parle lui aussi de cette difficulté qu’un plique avec régi, il dit dans un entetient qu’il dit r »camment : il dit : il a travaillé dans un spectacle qui s’appelait le criminel, il nous dit que le texte de laisely capant était dit par une seul actrice qui était dans la salle, les autres acteurs sur scène hé bien était en même silencieux, l’actrice était la seul a parler, ils devaient travailler dans un acte pure de présence, rien d’autre à faire que d’etre présent toute la difficulté c’était de faire cette act de résence : on était là pour être comme des filtrees ou des chambres déco du texte, ce qui me parait très imôrtant dans le .. on avait rien a interpréter.  »  dans le travail que wxavier décrit on a finalement un peu même les conditions de tr qu’avec l’acteur parlant, autrenement dit l’acteur est là comme un passeur du texte comme si il fess        it passer le texte du mondede l’écriture au monde réel du psectateur, il n’a pas interpréter, il n’a pas à être jouer, transverszr le texte à l’intotion du spectateur, ce tr de l’acteur ne necessite pas un engagement de l’acteur, engagelement physdique mais l’acteur doit juste être là dans la présence, être présent, être au présent et en étant cette présence ne peut être effective à partir du moment ou l’acteur est relié aux choses extérieurs et à sa propore …  dimention religieuse, mais à la fois à sa propore intérioerité et simultanément et cette présence de l’axteiur a avoir avec une sur exsitance on pourrait peut être dire une hyper consiccnence de sa présence au plauteau il dit : « … » autrmeent dit l’acteur de présence de l’acteur qui aurait avoir avec la surexistance, cette acte de présence relève d’une cérémonie,  le spectateur est invité à une cérémonie qui doit fondé l’acte de présence de l’acteur. Mais alors cette acte de cérémonie comment se manifeste elle ? comment elle se traduit scéniquyemerny. ? pour répondre à comment elle se manifeste on peut revenir au témoignange de xavier il évoque la question du silence chut est un mot qu’on a assez entendu en traviallant avec claude, j’étais trèsq étonnant par la représentation de reve et folie par ces silences. … » le passage pour réaliser cette act cérémoniel on a le sentiment qui faut réaliser une équation qui mettrait a égalité la céremnoie avec l’act de présence et de silence la céré&mine c’est la jonction de..  à la fois dans quelque chose de silencieux mais aussi .. wxiver n’est pas le seul à parler du silence, parmi eux une comédienne bénédict ..  en plus de projeter des images il faut continuer à être active dans ce qui l’acommpagn,ne, cette production appel un silence, toujours dans ce silence doit résonné la parole de la leecture. Le silence entre les mots, ils faut créer de l’espace de l’air, laisser passer la vie enfaite tout simplement. Il fzut réussir à créer de l’espace par la parole et laisser ouvrir le languafge pour que le silence appraise entre les .. même. elle dit que contraitemenet des auteuresmetteur en scène quand elle a tr avec régi elle avait l’impression si’il s’agissait plus d’une rencontre que d’un partage une esthétique une vision sur le monde, claude ne demandait rien, il était présent, cette présence modfifié fondalementalement les choses, cette présence laisse à portet qu’elle porte une certaine ora : dimention assez religieuse, forme d’ora qui transofrme l’acteur qui travail avec lui mais de la même façon quand qu’eun rentre dans une pièce tout est mdifié, cette rencontre l’amène a avoir une vision cosmique des choses, être interpeete avec claude c’est retrouvé… étrangement je repense à la peur, je me rencontre que j’ai eu très peur avec claud, avec le recul je me rend compte que la peur est fondamental, la peur de parler, avec claude il n’y avait pas d’éhauffement de préparation alors il fallait que … le travail avec claude demande de s’entrainenr  marcher sur un cheveux, ; on voit que régi invite l’acteur a vfaire une exéprience celle de franchir des seuils cherche a utiliser lel anguage d’une utre manière de sorte à avoir une autre perception du monde, elle a pour fin de s’explorer en dehors des seuls qui sont les notre habituellement.  On retrouve cette idée de vvire la encore une expérience supérieur à notre contidien. Son eovure vise à modifier des état de perception hiabituel de sorte àremetrre en question notre perception pour raporcher l’acteur que claude régi nomme l’atat d’incertitude. Arriver à toucher cette étart d’incertide, seuil sornore temporel, par exemple le ralentiseement de la parole qui font peut a peut caréct&riser c spectatcle, ca va permettre aux spectateurs de focalisé son intenton et de le ponger dans de l’incertitude pour atteindtre se seuil de consiance forcément ca le fait ffranchir des xeuols de conscicne différent, cette lenteur dans l’élocutution et les mouvements des corps conditions pour que notre perception puisse être altéré.  Dans la question de la pr&sence son être là et son mode de présence qui passe par le corps et la parole doit amené le spectateur a un autre état de perception pur franchir c seuiL . cette lenteteur de lélocution passe aussi par une suratitculation de la parole qui rend fébrille vasilante la syntaxe et le discours, on pard le sens du discours et claude régi dit qu’il faut casser la langue, il faut casser lan syntaxe pour présiement pour lui cette rupture dans la langue c’est ce qui va fait permettre de faire entendre ce qui n’est pas dit, il essaie de se raporhcer de cet état la qui précede la .. de l’auteur. Tout ce qui est soustaerrain au texte. La cuche de sémantasion qui irigueré le texte qui serait à l’origine de l’écriture, son ter consiste a démantibulé la syntzxte, défaire la phrase et donc i ls’agirt de trouver le language de mettre des trous  dou les silence entre les mots, d’où les ruptures dans la syntaxe, et en effet dans ‘ouvrage qui s’intutule l’ordre des morts, régi affirme que le languege n’est pas exact il est plus d’un peu près, d’anviqguité de mal entendu de flou d’envivalence, et c’est la que la poésie se loge dans ces écarts que ouvre les signes » autrement dit pour régi pour dégafer ce qui irigue le texte tout ce qui nr se dit pas , il faut trouer le language sa sénécite d’ouvrir ‘espace entre mes mots les grouoes de mots, en brisant le fils continu de la partole en créenat des suspension des arrêts .. il ajoute que généralement selon lui les gens on peur des qu’il ralentise, des qu’il s’arette car selon lui c arret ce fnd sur le vide, mais c’est le contraire il ajoute , donc tout ce qui ne se dit pas, ne se revele pas dans l’&criture peut apparaitre quand le language est troué pour faire entendre cette état de vide de vaquité qui peut avoir lrosqu’on a ce vide qui précède l’écriture mais aussi le vide qui aspire .. il s(agit de déconstruire lan langage en le trouant, et on a le sentimenti ici qu’and trouant la syntaxte en créant des ruptures, ça …

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