Début d'une histoire - écrit personnel
Rapports de Stage : Début d'une histoire - écrit personnel. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Charlo6 • 24 Juin 2012 • 345 Mots (2 Pages) • 2 491 Vues
Ils étaient vingt troise dans le bateau, presque tous pêcheurs, aucune femme. Le patron était un Marocain méprisant avec sa charge. Ils sont partis depuis une plage couverte de gaspillages et ont tardé sept jours à parcourir deux mille kilomètres. Quand ils ont perdu de vue la terre, Ismael s'est levé en essayant de voir quelque chose de plus qu'une eau, [...] et je le renverse se sentir encerclé, sans défense. Au cinquième jour sacré, l'eau a fini. certains ont commencé à pleurer et à pleurer et à pleurer. Nous partons pour mourir répétaient-t-ils, nous partons pour mourir. Une terre n'était vue par aucune partie. ila pensé qu'il avait été un idiot, qu'il aurait du acheté un passeport et un billet d'avion, comme il se faisaient tant. Ila pensé, bon, je vais mourir, cela est tout. La peur s'est endormie, aveuglé par la fatigue, la soif, la chaleur, par le strident. Et alors j'écoute son père, directement venu du village des défunts : " Ne pleure pas, tu ne vas pas mourir ". Et au sixième jour la mer, qui était verte jusqu'alors, est devenue bleu foncé : ils étaient près d'une terre. Cette nuit l'éclat des villes est devenu visible dans le ciel et, comme un phare les a aidé à s'approcher.
Ilssont arrivés à un port et la police et la Croix-Rouge les attendaient déjà. Ils ont passé la nuit dans un commissariat, entassés dans un local, jetés au sol. Une avocate est arrivée, une femme qui leur explica un par un en Français, qu'ils les mèneraient dans un centre de rétention et qu'après quarante jours ils décideraient s'ils les rapatrient ou si ils les libèrent en Espagne. Elle dira qu'ils viennent de Guinée Conakri puisque les deux pays n'ont pas d'accords, le rapatriement ne sera pas possible. Elle les informés qu'au Sénégal il ne faus pas dire où tu es nait.
Ils sont arrivés au centre de rétention. un matelas gonflable, une couverture, un savon, une serviette. Une cour. Trois cabinets et trois douches pour deux cents personnas.
Les jours passaient monotones et...
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