Devoir A toute vitesse
Commentaire de texte : Devoir A toute vitesse. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar j.boffelli • 27 Mars 2020 • Commentaire de texte • 1 309 Mots (6 Pages) • 1 963 Vues
Devoir de Culture Générale
Synthèse de document
A l’heure actuelle, la vitesse est présente de partout. Les voitures, beaucoup plus puissance ou encore qui vont de plus en plus vite, ou alors les technologies qui facilité la rapidité à réaliser une tâche.
Christophe Roux-Dufort, dans son essai « Le culte de L’urgence » évoque les catastrophes industrielles liées à la vitesse. Hartmut Rosa lui, dans le journal L’Humanité, expose les problèmes liés à la vitesse et relève que l’humain subie une décélération, et une anxiété est de plus en plus présente.
Paul Virilio traite, dans la revus ETVUDES, les dangers liés à cette vitesse, et prend l’exemple de la pollution. Enfin, dans la photographie d’une chaîne de production en Chine, on remarque sur ce document que la vitesse amène à une robotisation de l’être humain.
Ces documents nous amènent à nous demander quels sont les inconvénients engendrés par cette accélération de la société moderne ?
Dans un premier temps, nous évoquerons la vitesse constamment présente dans notre société.
Et dans un second temps, que cette vitesse peut conduire à une déshumanisation
Tout d’abord, la société actuelle vis dans l’urgence, l’humain a un besoin de rapidité. Comme nous pouvons le remarquer dans la photographie de la Chaîne de production en Chine, les employées travaillent à la chaîne, et effectue leur tâche avec une rapidité certaine pour être le plus productifs. La compétitivité est devenue l’enjeux primaires de cette accélération de la société.
Hartmut Rosa, dans son interview pour l’Humanité, explique que la modernité entraine des besoins de rapidité, lié à la compétitivité et au besoin de rendement.
Christophe Roux-Dufort, dans Le culte de l’urgence, met en avant le développement de la compétitivité qui est constamment recherché dans la société. Ce qui implique une accélération dans de nombreux domaine. Il prend exemple sur les métiers d’urgence, comme les pompiers ou le SAMU qui sont valorisé dans notre société actuelle.
Paul Virilio, dans la revue ETVDES, lui met en avant l’accélération de la vie quotidienne. Avec toutes les nouvelles technologies, une accélération apparait vraisemblablement. La vitesse de l’information transmises par les appareils électroniques favorise cette accélération.
Ensuite, on peut aussi déduire que la vitesse entraine à la robotisation de l’être humain. Dans la photographie, les employés travaillent à la chaîne, ils doivent être rapide et performants comme le ferais une machine. Le but est la productivité qui fait que l’humain n’a aucunement le droit de faiblir. Paul Virilio, dans ETVDES, parle de déshumanisation. Pour lui, la vitesse entraine une certaine perte d’identité chez les individus. Cet aspect de déshumanisation est causé par les problèmes de pollution et de migration engendré par cette vitesse.
Dans son interview, Hartmut Rosa, expose le culte de la vitesse comme péjoratif pour la société. Il met en relation l’augmentation de l’anxiété chez l’individus, et ce besoin contant de vitesse. L’individus va donc ressentir le besoin de repos, de décélération du rythme de vie. Cette vitesse peut aussi provoquer une décélération pour les personnes en situation de chômage. Christophe Roux-Dufour, dans le Culte de l’urgence, met en évidence que l’accélération de la société peut provoquer des catastrophes industrielles. La compétitivité pousse l’individus à aller trop vite, au détriment de la qualité. L’auteur prend l’exemple, de l’accident ferroviaire en 1988 à la gare de Lyon, ou encore le naufrage du Titanic. Vouloir aller trop vite entraine de défauts au niveau du projet mené.
En conclusion, l’accélération de la société moderne engendre forcément un nombre d’inconvénient dans la société. Cette vitesse nous rend plus anxieux, et pousse à la déshumanisation de l’individus.
Écriture personnelle
Actuellement, dans la société actuelle, la totalité des individus vivent dans la vitesse, dans cette recherche constante de compétitivité, et de production massive.
Je vais vous prendre l’exemple de la vie parisienne, les individus, cours, marche vite, car ils n’ont plus le temps. Ils sont constamment dans cette pression d’effectuer tous ce qu’il leur reste à faire. Il y a une accélération du temps, même si physiquement, nos aiguilles sur notre montre, ne tourne pas plus vite que la normale, mais c’est l’accélération du rythme de vie qui est présente. L’individus a « le sentiment que le temps passe plus vite » comme le dis H. Rosa.
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