Côme de Médicis
Fiche de lecture : Côme de Médicis. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar manon07 • 11 Octobre 2013 • Fiche de lecture • 1 257 Mots (6 Pages) • 645 Vues
5Devant l'église San Miniato, à Montolivet.
Scène de foule, où se mêlent bourgeois et marchands. Entre Salviati qui se vante d'une promesse que lui aurait faite Louise Strozzi de coucher avec lui.
6Le soir, sur les bords de l'Arno.
Marie Soderini, mère de Lorenzo, confie à Catherine Ginori, tante du jeune homme, ses inquiétudes à l'égard de Lorenzo, déplorant que sa pureté se soit muée en débauche. Cependant les bannis de Florence partent en maudissant la ville.
II1Chez les Strozzi. Le soir.
Philippe Strozzi déplore la corruption qui gangrène Florence. Pierre et Thomas, ses deux fils, apprennent que leur sœur Louise a été insultée par Salviati. Malgré l'opposition de leur père, ils décident de la venger.
2Le portail d'une église. 2 janvier1536, avant midi.
Le peintre Tebaldeo Freccia montre un paysage florentin à Valori et Lorenzo. Celui-ci raille sa prétendue pureté puis lui propose de venir le lendemain chez lui en vue d'un tableau d'importance, "pour le jour de ses noces".
3Palais Cibo. L'après-midi.
Le cardinal Cibo entend la marquise en confession et tente de lui soutirer des confidences relatives au duc. Indignée, la marquise devine que le cardinal, complice complaisant de l'adultère, pourrait en profiter pour manœuvrer le duc.
4Palais Soderini. 3 janvier1536, le soir.
Marie raconte à Lorenzo son rêve de la nuit, où il lui est apparu sous ses traits d'autrefois. Lorenzo paraît fort troublé quand surviennent son oncle, Bindo et un ami. Tous deux accablent Lorenzo de reproches. Mais, en présence du duc, Lorenzo sollicite malignement des privilèges pour les deux hommes, qu'ils acceptent avec gratitude. Resté seul avec Lorenzo, le duc lui confie que la marquise est sa maîtresse et lui demande de lui ménager un rendez-vous avec Catherine.
5Palais des Strozzi. Le soir.
Alors que Philippe Strozzi confie ses craintes à son entourage pour son fils Pierre, celui-ci survient et annonce qu'il vient de tuer Julien Salviati. Malgré les conseils, il refuse néanmoins de se cacher.
6Palais ducal, le soir.
Tebaldeo réalise le portrait du duc. Pour poser, celui-ci a dû enlever sa côte de mailles. Lorsqu'il veut la reprendre, la cotte a disparu. Giomo fait part au duc de ses soupçons à l'égard de Lorenzo, puis renonce à les vérifier.
7Une rue, devant le palais ducal, le soir.
Salviati, couvert de sang, crie vengeance sous la fenêtre du duc. Alexandre promet de le venger et demande à ce qu'on jette les Strozzi en prison.
III1Chambre de Lorenzo. 4 janvier1536, au matin.
Dans sa chambre, Lorenzo s'entraîne avec son valet, Scoronconcolo, au maniement des armes. Les deux hommes font volontairement beaucoup de bruit, pour, dit Lorenzo, accoutumer les voisins au tapage, le jour où il se débarrassera d'un ennemi personnel que pour l'instant il se refuse à nommer.
2Palais Strozzi, le matin.
Pierre Strozzi décide d'en finir avec les Médicis. Sa fougue irréfléchie se heurte un temps à la prudence de son père, mais il finit par convaincre ce dernier de le suivre à un banquet de conjurés chez les Pazzi.
3Une rue, le matin.
Alors qu'ils se rendent chez les Pazzi, les fils Strozzi sont conduits en prison. Philippe se lamente de cette iniquité lorsque Lorenzo arrive. Au cours d'une longue scène, Lorenzo finit par révéler son double jeu au vieil homme : il s'est introduit dans l'entourage du duc et a feint d'être son complice pour l'assassiner. Il confie pourtant n'entretenir aucun illusion sur le sens politique de son geste, qu'il réduit à un sursaut individuel de vertu.
4Palais Soderini, le matin.
Catherine lit à Marie une lettre qu'elle a reçue d'Alexandre sollicitant, sous le couvert de Lorenzo, un rendez-vous d'amour. Désespérée, Marie sent sa mort prochaine.
5Palais Cibo, midi.
La marquise est décidée à agir sur le duc en devenant sa maîtresse. Le cardinal, éconduit, annonce qu'il reviendra plus tard.
6Le boudoir de la marquise, midi.
La marquise tente de convaincre le duc de prendre la tête des républicains et de libérer Florence de la domination allemande. Alexandre se montre ennuyé par ces discours vertueux, et la marquise préfère renoncer à leur liaison. Restée seule, elle a conscience d'avoir bafoué pour rien l'honneur de son mari.
7Palais Strozzi, le soir.
Philippe a invité les quarante Strozzi à souper et leur demande de l'aider à libérer
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