Charles Baudelaire

Au XIX éme siècle Charles Baudelaire ; poète français né en 1821 et mort en 1867, nourrit de romantisme, tourné vers le classicisme, à la croisée entre le Parnasse et le Symbolisme il occupe une place qui lui est propre dans l’histoire ; écrit des textes engagés exposant la haine du monde. Parmi eux dans le recueil le spleen et l’idéal on trouve «Epilogue» écrit en 1862. Au XIX éme siècle on trouve aussi le poète français Apollinaire, né en 1880 et mort pour la France en 1918, avec son poème «Zone» dans le recueil Alcool écrit en 1913. Et enfin nous pouvons aussi trouver un troisième poète Arthur Rimbaud, poète né en 1854 et mort en 1891, ses idées marginales, anti-bourgeoises et libertaires le poussent à choisir une vie d’aventureuse ; avec son poème «Ville» dans le recueil Illumination écrit en 1874. Dans cette dissertation nous aimerions nous approprier le regard moderne des poètes et leur vision du monde et plus particulièrement la haine du monde. Dans cette analyse nous allons voir pourquoi les poètes transmettent t-ils cette haine du monde à travers leur poèmes ? Dans un premier temps nous verrons si le poème est apprécié car le poète déteste et haï le monde, par la suite nous observerons si au contraire le poème est apprécié quand cette haine du monde ne fais pas le thème du poème ; et en dernière partie nous regarderons ce que si la haine des poètes ne complète pas la nature du poème.

La haine du monde a commencé à apparaître vers le XX éme siècle environs, c’est-à-dire après Baudelaire. Baudelaire est en quelque sorte l’innovation de cette haine il porte un nouveau regard sur la société, il apporte un nouveau jugement. On peut découvrir cette haine par exemple avec «L’albatros» dans le recueil Les Fleurs du mal, dans ce poème il se compare à un albatros, car pour lui le poète est un oiseau qui vole dans les airs. On peut voir cette comparaison grâce à l’outil de comparaison « semblable à » vers 13, cette comparaison permet de lire poème d’un autre regard et nous fais comprendre que cet oiseau est bien dans les airs que c’est son domaine alors que sur terre pas du tout. Ici le poète a choisi l’albatros comme oiseau car avec ses ailes l’albatros est maladroit sur terre, il a du mal, alors que dans les airs pas du tout ; on peut donc traduire que le poète ne se sent pas à sa place dans la société alors que dans son domaine, qui est l’écriture, il est le roi. D’ailleurs Baudelaire, dans la poésie française, est surnommé le prince et dans ce poème il reprend ce terme pour définir l’oiseau.

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