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Arlequin Et Lisette, Analyse D'une Scène

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Par   •  26 Février 2014  •  608 Mots (3 Pages)  •  1 697 Vues

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Structure du texte

Dans cette scène, Arlequin puis Lisette révèlent leur réelle identité tour à tour. La structure du texte est faite en trois étapes.

De la ligne 1 à la ligne 24, Arlequin c’est Arlequin qui fait son aveux auprès de Lisette.

Dans la deuxième partie de cette scène, on nous informe de la réaction de Lisette et de la surprise d’Arlequin de ne pas être renié : « La jolie culbute que je fais là » ligne 26.

Durant la troisième et dernière partie du texte, Lisette se confie et Arlequin apprends à son tour la vérité. Elle ne se dévoile pas directement après Arlequin pur pouvoir se moquer de lui « Il y a une heure que je lui demande grâce, et que je m’épuise en humilités pour cet anomal là ». On pourrait appeler cette partie L’aveux de Lisette.

La doubler énonciation est comique on observe une symetrie entre les repliques et les situatioons

Dans cette scène on peut relever de nombreux procédés comiques.

Le rôle de valets se prête plus à une scène comique que le rôle de maître.

Arlequin se moque de lui-même

Le passage « Lui dirais-je que je m’appelle Arlequin ? non ;cela rime trop avec coquin. » ligne 16 ; puis ligne 24 « Je n’ai pus éviter la rime ».

Comique de mots Ils s’ injurient « Faquin ! » ligne 23 ; « cet animal là » ligne 27 « Coquin »

Durant toute la scène les personnages rient « ah,ah,ah je ne saurais pourtant m’empêcher d’en rire » , »(riant) ah,ah,ah »ligne 30 et restent de bonne humeur « Va, le mal n’est pas grand, consolons- nous » ;, et ce malgré les aveux qui auraient pu être la source de la fin de leur amour.

Il y a du comique de situation avec le quiproquo. Chacun croit qu’il va décevoir l’autre en avouant sa réelle identité et donc a du mal à se confier mais les spectateurs connaissent la réeelle identité de chacun.

Il y a aussi du comique dans l’aveu d’Arlequin.

Il retarde le moment de se confier en passant par divers moyen et en préparant ce qu’il va dire mais fini toutefois par dire la vérité. Les aparte sont comiques « (en aparte) Préparons un peu cette affaire là » ; « Lui dirais-je que je m’appelle Arlequin ? »

Il utilise des expressions differentes pour se qualifier et faire comprendre indirectement à Lisette qu’il n’est qu’un valet. « Vous m’otez ma couverture », « N’avez-vous jamais vu de fausse monnaie ? » « Savez vous ce qu’est un Louis d’or faux ? » « Un soldat d’antichambre ».

Ils veut verifier la sincérité de l’amour de Lisette avant d’avouer : « Madame votre amour est il d une consitution bien robuste ? » Le dialogue est pleins d’allusions

Les aveux de Lisette et d’Arlequin sont flous « Valet d’antichambre », « la coiffeuse de Madame »

L’expression « Monsieur, je suis votre et servante » et « et moi votre valet, Madame » peut être considérée comme un jeu de mot car tout deux sont de véritables valets et en même temps ces expressions sont comme des « preuves d’amour » des formules de politesse

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