Molière, Malade Imaginaire
Analyse sectorielle : Molière, Malade Imaginaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Kachiki52 • 20 Mai 2023 • Analyse sectorielle • 565 Mots (3 Pages) • 244 Vues
Le malade imaginaire
Le texte que je vais étudier s’inscrit dans le cadre du parcours : spectacle est comédie il s’agit d’un extrait du texte 2 de la comédie ballait du malade imaginaire de Molière dont la première représentation est en 1673, la même année que la mort du dramaturge. Le texte nous montre une mise en abîme, une pièce de théâtre jouer par cléante, angélique et thomas. La mise en scène renouvelle les sentiments de cléante pour angélique. Il parle de l’amour qu’il a pour elle. Alors nous verrons dans quel mesure cléante profite du spectacle improviser par sa ruse pour renouveler ses sentiments pour angélique ? En première partie nous verrons cléante, le metteur en scène et le procéder de mise en abîme ensuite la rivalité entre le berger et le brutal et enfin une scène poétique où Cléante réaffirme ses sentiments pour Angélique.
La didascalie nous montre la mise en scène de Cléante où il va être acteur. Il se travesti en maître à chanter pour un spectacle.
Clindor nous montre son rôle
Il est conteur comme nous montre le verbe explique metteur en scène, acteur, compositeur, chanteur et spectateur.
Champ lexical du spectacle qui nous montre la mise en scène. Il dévoile son scénario.
Clin d’œil visé aux spectateurs. Cléante se moque des Diaforus et d’Argan
Cléante a pour volonté de se jouer d’Argan et des Diaforus, nous la voyons à l’aide de la préposition subjonctive relative> « qui ne faisait que de commencer ». Les spectateurs sont le spectacle
II
Cléante cherche a affirmé son idée du brutal, il est lié à une connotation péjorative (l.6/9). Le mot « insolence » il passe de adj à nom.
Cléante venge la bergère, il passe pour un héro pour se justifié il utilise le champ lexical de le justice « châtiment » connotation divine. Terme hyperbolique, il est celui qui rétablit la justice.
Nous avons une périphrase galante de la femme avec une métonymie>sexe et 2 hyperboles>tous les hommes>hommage. Cette périphrase nous montre à quel point Cléante cherche à exagérer pour humilier Thomas( le brutal) et le faire passer pour le méchant.
III
Cléante cherche a protégé la jeune femme, il la trouve innocente. Il parle avec un langage amoureux. On le voit avec l’hyperbole « les 2 plus beaux yeux » et l’utilisation du subjonctif parlait.
Le Berger se plaint et déplore les malheurs de la jeune femme on le voit avec l’utilisation du discours direct (qui fait entendre ses pensées) et avec l’adverbe de plainte « hélas !»> exclamation.
Le brutal apparait encore une fois quelqu’un de mauvais> termes péjoratifs>inhumain, barbare, sauvage.
Angélique apparait comme une personne incroyable avec des termes mélioratifs.
Cléante apparait comme le consolateur
Cléante utilise un langage politique, amoureux> champ lexical de l’amour gradation d’adverbes anaphoriques, rythme ternaire.
Cléante succombe en regardant la bergère> négation
Cléante est attentif à tous les fait et gestes d’angélique> anaphore «chaque ». Il est fasciné> métaphore du feu> flamme=passion PSR
Cléante justifie les sentiments qu’il ressent aux yeux du public> d’une âme si reconnaissante.
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