Les Misérables, Fantine

LES MISERABLES

Première partie Fantine

Livre deuxième – La chute

1. Le soir d’un jour de marchée

En octobre 1815, un homme âgé, de taille moyenne, à l'allure robuste, portant des vêtements usés qui lui donnent un air misérable, entre dans le village de Digne, où personne ne le connaît

Il se rend dans une auberge dont l'hôtelier est Jacquin Labarre.

Le vieil homme entre dans la cuisine où Labarra, qui est aussi le chef cuisinier, prépare le dîner. Il lui demande un lit pour dormir et de la nourriture, et bien qu'il ait de l'argent, Jacquin ne peut pas lui en donner, car lorsqu'il a vu l'homme entrer, il a envoyé un message à la mairie et a découvert que l'homme était Jean Valjean, il a donc dû le renvoyer.

Jean Valjean quitte l’auberge et marche longtemps jusqu'à ce qu'il trouve un cabaret.

Il entre dans le cabaret et demande à nouveau de la nourriture et un endroit pour dormir. Le cabaretier accepte d'abord, jusqu'à ce qu'un poissonnier, qui se trouvait dans l'auberge au moment où Labarra a mis Valjean à la porte, informe le cabaretier de ce qui s'est passé et donc, il le mette à la porte à son tour.

L'homme repart et trouve une prison où il demande à nouveau un lit et de la nourriture.

La prison le renvoie.

Puis il tombe sur une petite maison où vivait une famille. L'homme pense qu'ils vont l'aider, mais après quelques questions, le propriétaire de la maison, soupçonneux de son identité, le renvoie lui aussi.

Ensuite, Valjean trouve une cabane. Il y entre. Au bout d'un moment, un grand bruit se fait entendre et un chien apparaît. Il était dans la niche d’un chien.

Il abandonne la cabane et sort du village et est allé dans les champs.

Après avoir erré un moment, il revient à Digne et s'allonge sur un banc de pierre. La marquise de R, qui a pitié de lui, lui dit de frapper à la porte de la maison à côté de l'évêché.

2. La prudence conseillée à la sagesse

L’évêque de Digne, Monseigneur Bienvenu, préparait un travail sur les Devoirs. Pendant ce temps, il y avait Madame Magloire qui mettait la table et Madmoiselle Baptistine, la sœur du prêtre. Madame Magloire commence à raconter l'histoire du mendiant qui se promène dans la ville et propose de mettre des serrures à la maison, disant qu'il est dangereux. Pendant ce temps, on frappe à la porte.

3. Héroïsme de l’obéissance passive

L'homme entre dans la maison et se présente : il dit son nom et révèle qu'il est galérien et qu'il a passé 19 ans en prison.

Il a été libéré il y a quatre jours et se rendait à pied de Toulon à Pontarlier.

Il raconte aussi combien d'endroits il s'est rendu ce jour-là pour se mêler de tout, mais qu'à l'auberge on a découvert qui il était grâce à son passeport jaune (qui indiquait qu'il était galérien) qu'il avait montré à la mairie, et qu'il a donc été expulsé à plusieurs reprises de tous les endroits, étant considéré comme dangereux. Il demande alors de l'aide à l’évêque, qui la lui accorde, même si cela ne plaît pas à Madame Magloire.

Valjean lui raconte également les conditions horribles dans lesquelles il a vécu lorsqu'il était emprisonné et combien il est reconnaissant de l'aide de l’évêque.

(Valjean a 46 ans).

4. Il y pas

5. Tranquillité

L’évêque conduit l'homme jusqu'à l'alcôve, par laquelle ils doivent passer dans la chambre du prêtre.

Valjean lui demande s'il n'aurait pas peur qu'il soit un meurtrier, mais le prêtre répond que cela regarde le bon Dieu.

L'homme, épuisé, s'endort et, après avoir erré un moment dans son jardin, l’évêque s'endort à son tour.

6. Jean Valjean

Jean Valjean était d'une famille pauvre de paysans pauvres de la Brie.

Il était émondeur à Faverolles.

Sa mère s’appelait Jeanne Mathieu et son père Jean Valjean.

Quand il était petit, ses parents sont morts : la mère était morte d’une fièvre de lait mal soignée ; son père qu’était aussi émondeur s’était tué en tombant d’un arbre.

Il avait une sœur aînée qui s'occupait de lui. À la mort de son mari, Valjean, qui avait déjà 25 ans, est devenu l'homme de la maison et s'est occupé de sa sœur et de ses sept enfants.

Ils vivent dans la misère et, une nuit, Jean Valjean décide de voler une boulangerie en frappant à la vitrine et en prenant le pain, mais le boulanger l'attrape.

(en 1795) Il est condamné pour vol avec effraction à 5 ans de galères.

Il n'a plus jamais eu de nouvelles de sa sœur ni de ses neveux, jusqu'à ce que quelqu'un lui dise qu'elle était à Paris avec son plus jeune fils, et qu'ils étaient toujours pauvres.

Au cours de la quatrième année de sa peine, Jean s'évade pendant deux jours, puis est rattrapé. Il est condamné à une prolongation de 3 ans de sa peine (8 ans au total).

La sixième année, il tente à nouveau de s'évader mais n'y

...