Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo

SUPPORT: Chapitre XLVIII(48)

CONSIGNE: Rédiger une partie du commentaire de cet extrait (développement) Attention il faudra au début de votre copie , énoncer votre problématique et votre plan ( linéaire ou analytique ) sous forme de titres .

PROBLÉMATIQUE: Comment est montré le condamné a l approche de son exécution?

PLAN(LINÉAIRE): I Le décor des derniers heure

II La toilette avant l exécution

partie I:

Ici l auteur nous mais en situation les dernières heures du condamnés , ce qu il voient,entend ainsi que se qu il ressent comme lors de sa toilette exécuté par des hommes et le bourreau qui lui enlèvera la vie.

Le narrateur nous parle de ceux qu il voient,les décors,de qui et ou il les voient . Il nous présente ces murs,leurs murs si il ne fessait pas déjà froid la manières dont il nous présentes ces couloir,ces escaliers, à la faculté de nous faire ralentir le sang et le souffle.Il nous dit «ils m ont fait traverser leurs corridors et descendre leur escaliers» montrant bien le faits que tous cela appartient a ceux qui vont l exécuter . Là il nous exprime bien l obscurité de ces pièces «salle sombres , étroites , voûtée , a peine éclairée d un jour jour de pluie et de brouillard». Ici on y décries les personnes qu il voient «le prêtre et les gendarmes» , «trois hommes» un est le «valet de la guillotine» et les deux autres hommes sont les valets de celui-ci . Enfin l auteur nous montres les derniers murs que le condamnée pourra érafler , les derniers couloir qu il traversera , car a partir de ce moment il n est plus prisonnier a l intérieur , il s apprêtes a joue son rôle , de condamne a morts a l extérieur sur l échafaud .

V.Hugo nous présente maintenant la toilette limite funèbre du condamné a mort . Là il nous parle des hommes qui lui font la toilette , de quelles manières et avec quoi , ainsi que leur action rudesse qu ils essayent de rendre les plus douces possibles.Dans ses mots on ressent l angoisse et la peur du condamnes «les ciseaux ont grincé a mes oreilles» «par derrière , comme des chats» ainsi que «l acier qui touchait mon cou». Ici il montre aussi le soins bâclés dont essayes de faire preuve les hommes «les époussetait doucement avec sa grosse main» , «pardon! Est ce que je vous ai fait mal» «Ces bourreaux sont des hommes très doux» . Dans cette partie du chapitre on parle de l exécution iminante du condamné de sa toilette et de ces hommes au manières rudimentaires mais avec l envie de le faire de façon le plus douce possible .Voila on en est certain sont exécution est pour aujourd’hui et Victor Hugo nous fait bien comprendre que le condamnes a mort en a bien conscience .

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