« Le coquillage au bord de la mer » d’Alphonse de Lamartine
Commentaire de texte : « Le coquillage au bord de la mer » d’Alphonse de Lamartine. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Lecheval.3 • 17 Avril 2023 • Commentaire de texte • 1 195 Mots (5 Pages) • 1 219 Vues
Michelin
Inès
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Commentaire composé : « Le coquillage au bord de la mer » d’Alphonse de Lamartine
Le Coquillage Au Bord de La Mer, est un poème écrit par Alphonse de Lamartine, de son nom complet Alphonse Marie Louis de Prat de Lamartine, né le 21 octobre 1790 à Mâcon et est décédée en 1869 à Paris, cette artiste est un poète, romancier, dramaturge français, historien, ainsi qu'une personnalité politique qui participa à la révolution de 1848 et proclama la Deuxième République. Il est l'une des grandes figures du romantisme en France. Dans se poème il s’appuie sur la posture du romantisme de son époque, tout en mettant en accord la période de renouveau qu’est les années 1860 (Révolution industrielle, changement)
Se commentaire nous permettra d’étudié un plan en deux partie qui sera aussi composé de sous partie, j’ai donc choisi : 1- La beauté féminine et en 2- Le sentiment amoureux. Dans se poème on pourra étudier plusieurs forme de comparaisons comme la beauté qui est comparé avec la nature mes aussi un paradoxe et une antithèse.
Tout au long de se poème la comparaison de la beauté féminine est très présente on retrouve une vrai admiration envers la beauté du corps et de l’esprit de la femme décrite par Alphonse de Lamartine. La vision de la beauté est revue au goût de l’époque romantique, se qui justifie toute c’est allusions a la nature: ici a la mer et a c’est trésor. Le trésor qui est évoquer ici serait le coquillage qui représente enveloppe corporelle de cette être qu’il idolâtre. Alphonse de Lamartine compare la jeune fille a Vénus « Que Vénus fait, dit-on, polir au flot amer. » (l.4) Vénus est une déesse de la mythologie romaine, elle est la déesse de l’amour, de la séduction, de la beauté féminine. Elle est représenter un sortant d’un coquillage comme une perle que l’on retrouve dans les huîtres qui sont extrêmement précieuse comme la perle de culture, qui est un objet très symbolique par sa rareté et par sont symbole unique qu’elle représente. L’auteur compare aussi l’Écrin de l’Océan avec le roses de la joue de la jeune fille, « L’écrin de l’Océan n’en a point de pareille. Écrin est ici une manière de designer le coquillage qui est le bijoux autour de l’être aimé qui reflète sont enveloppe corporelle ; Les roses de ta joue ont peine à l’égaler ». On comprend aussi qu’il est fou amoureux de cette jeune femme car on peut comprendre qu’il entend tellement de voix qu’il ne peut même plus les démêler « On entend mille voix qu’on ne peut démêler » (l-8) . Ici le coquillage revient car les mille murmure peuvent représenter les murmures de l’océan que l’on peut écouter dans les coquillages. On pourrait comprendre qu’il soit tellement attirer par cette jeune femme qu’il ne voit que par elle et qu’il est obséder par elle, c’est sur-ment pour cela qu’il entend des millier de voix portant sur cette jeune femme. Dans le troisième paragraphe de se poème, il compare c’est sentiment confus avec une tempête avec des lourdes vagues, avec la foret qui frissonne et parfois aussi avec des voix qui chuchotent tout bas. Notre auteur voix cette femme comme la beauté incarner et n’a plus une vision objective de la beauté en générale et de la beauté de cette jeune femme « Un écho merveilleux ou l’immense nature Résume tous les bruit dans le creux de ta main » (l.14-16). Dans cette phrase on comprend très clairement qu’il ne voie, ne pense et ne vit que par cette jeune femme, le creux de sa main résume la merveille, le bonheur et mème sur ment le réconfort que cette femme peut apporté a l’auteur. Dans cette partie on retrouve un point de vue de l’auteur et seulement de l’auteur, sans laisser de place a celui de la jeune femme qui est inexistant tout au long du poème mais on retrouve une description très prèsice se qui nous permet très bien de l’imaginer.
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